Samuel : je souhaite introduire Serenwynn comme contributrice par un article portant sur les œuvres visionnaires et symboliques de Tolkien.
Vous devez tous connaître les grands classiques Le Seigneur des Anneaux et Le Hobbit, adaptés au cinéma, mettant en scène humains, elfes, nains, orcs, trolls et autres êtres que nous reprenons sous le terme d’élémentaux ou d’êtres de la nature.
Tolkien a aussi écrit des romans moins connus, sur l’histoire, les contes et légendes du monde qu’il a inventé : la Terre du Milieu.
Plus j’en lis, plus je suis frappée par les coïncidences énormes avec les êtres de la nature qui existent (en particulier les Elfes d’ici !!!), l’histoire et les réalités cachées dont nous parle Khubya.
Je commence par « Les enfants de Hurin », un conte qui se déroule dans les premiers âges de la Terre du Milieu et qui raconte la vie errante d’un frère et d’une sœur, humains amis des Elfes mais sur lesquels pèse une malédiction.
Le contexte de départ ressemble très fort à l’Histoire que j’ai reçue des Elfes, sur l’époque lémurienne où ils vivaient en alliance avec des humains évolués, dans la Paix et l’Amour.
Puis survient un épisode dramatique nommé « La bataille des larmes innombrables » rappelant la Chute de l’Atlantide et de la Lémurie, avec la séparation entre les hommes et les elfes.
Le méchant du livre, Morgoth, fait penser à Lucifer et le dragon, au Léviathan (c’est-à-dire l’égrégore collectif de l’humanité qui nous tire vers le bas en maintenant nos conditionnements divers en interaction avec les failles de nos égos individuels). L’histoire est très triste mais c’est une bonne démonstration de la manière dont nous sommes influencés en pratique, et de comment on peut s’en extraire. Si les héros de l’histoire avaient travaillé sur eux en profondeur, l’histoire se serait déroulée tout autrement !!
La malédiction de l’histoire, c’est donc l’influence du Léviathan sur notre caractère, nos choix et notre destinée si nous le laissons faire. À chaque croisée des chemins, les héros ont le choix entre plusieurs possibilités mais comme ils ne sont pas conscients de la malédiction, ils sont comme téléguidés de manière invisible vers les mauvais choix, ceux qui apportent le malheur sur eux et leur entourage, ceux qui créent du karma.
Le livre montre tout ce qu’il ne faut pas faire, il démontre l’importance du travail sur soi qui permet d’évoluer et de s’extraire de cette manipulation collective des esprits.
Les dragons des histoires de Tolkien ne sont pas les vrais dragons, mais une représentation des égrégores collectifs, du Léviathan. Le dragon Smaug que l’on voit dans Le Hobbit, représente l’égrégore collectif de cupidité et de pouvoir du peuple des nains qui a creusé profondément la montagne pour amasser des richesses et prendre ainsi le pouvoir sur les peuples voisins. Le dragon qui les chasse de la montagne, c’est leur retour de karma (de riches sédentaires, ils deviennent pauvres nomades). Le Roi des Elfes passe pour un méchant dans l’histoire, parce qu’il n’aide pas les nains dans leur combat contre le dragon, ni quand ce dernier les chasse de la montagne, ni plus tard quand ils essaient de reprendre leur terre. Du point de vue spirituel, c’est normal, le peuple des Elfes n’a aucune raison de prendre sur lui le karma du peuple des Nains (cela rappelle l’avertissement de Khubya à propos de l’aide à apporter aux autres sans l’accord du Divin).
Peter Jackson continue avec la trilogie du Hobbit, où il ajoute des éléments qui ne se trouvent pas dans le livre original, mais soit dans des livres postérieurs au Hobbit (comme le Silmarillion, les contes et légendes inachevés publiés par le fils de Tolkien après sa mort etc.) soit totalement inventés comme le personnage de Tauriel.
La forêt de Mirkwood, malade avec les araignées géantes correspond à une pollution énergétique réelle des lieux naturels très visités. Il y a la pollution visible (les gens qui jettent des saletés, qui abîment, qui crient etc.) et la pollution invisible par les formes-pensées et les bestioles de l’astral qui passent d’eux à l’environnement, qui se raccrochent au prochain qui passe par là… Le film montre cela par le développement d’araignées géantes, et les Elfes m’ont fait prendre conscience que mon mental ne redémarre pas par hasard, mais qu’il capte des formes-pensées laissées là par les promeneurs précédents. Je pensais tout d’un coup à des histoires de boulot, alors que rien ne me rappelait le travail en forêt naturellement, puis j’ai rattrapé les promeneurs précédents … des collègues en train de s’exciter sur leurs problèmes de boulot ! Les émotions restent et se transmettent de la même façon (une sensation étrange d’énervement, avant de rattraper des gens qui parlent entre eux de manière agressive).
Tout ce que nous laissons ainsi sur notre passage affecte aussi la nature vivante et les êtres de la nature qui y vivent.
Les Elfes du film ne sont pas très sympathiques, un brin intolérant et agressif (ils jettent les nains au cachot). Peter Jackson voulait montrer de cette manière comment le mal qui infecte leur forêt les affecte aussi, je ne trouvais pas cela très juste, jusqu’à ce que les Elfes me montrent que l’ombre déposée par les humains les avait affectés aussi, au moment de notre rencontre, mais pas de la même manière (ils étaient très tristes, avaient perdu une partie de leurs pouvoirs et une taille diminuée). Ils ont retrouvé leur état original à la méditation de libération des chaînes et puis nettoyé la forêt, ils me disent qu’on verra cela dans le 3ème film quand les Elfes vont attaquer Dol Guldur (j’ai hâte de voir!!).
Même les détails reflètent la réalité des mondes invisibles, Gandalf se sert de son bâton de magicien de la même manière que le Roi des Elfes se sert de son sceptre par exemple. Il ressemble beaucoup au roi Thranduil du film, presque tous les personnages ont leur correspondant, plus ou moins ressemblant (et ça les amuse beaucoup^^). Même les noms sont ressemblants, ceux de Tolkien se trompent d’une lettre ou 2, d’une partie du mot, confondent parfois un nom de lieu avec un nom de dragon, il mélange les liens familiaux entre les Elfes mais dans l’ensemble les similitudes sont ahurissantes.
Au début je croyais que je délirais mais nous sommes plusieurs à avoir vu et entendu tout ce monde.
L’architecture est ressemblante aussi, avec Fontcombe et Lothlorien.
Les nains et leurs mines sans doute aussi, mais je les connais beaucoup moins bien.
L’idée que des Elfes jettent des Nains au cachot les fait tous hurler de rire!!
Le mal qui est représenté par Sauron, les nazguls et les orcs dans la contrée Mordor correspond à la manière dont les êtres de la nature voient notre civilisation de peur et de pouvoir, dans les zones urbaines. Sauron, c’est l’égrégore de pouvoir des Archontes, qui maintient les nazguls sous son pouvoir (= les dirigeants assoiffés de richesse et de pouvoir) et les orcs sont les gens inconscients dominés par leurs ombre, à fond dans le système sans le moindre travail sur eux.
J’avais demandé à Serenwynn son avis sur les orcs de Tolkien qui sont issus d’Elfes corrompus et torturés par le Seigneur des Ténèbres. Voici sa réponse :
J’ai posé la question aux Elfes : ils ont répondu qu’aucun Elfe ne laisserait se dégrader sa forme à ce point-là! Même ceux qui étaient enchaînés et libérés lors de la méditation de libération des chaînes n’étaient pas aussi moches… En 5D ils peuvent quitter leur corps et se réincarner en conscience : certains décident de quitter leur corps quand l’environnement devient trop nocif et de se réincarner dans un autre endroit de la planète ou d’attendre que les conditions s’améliorent. C’est ce qui est arrivé à la Reine des Elfes au Moyen-Âge quand la ville a pris de l’importance et elle a décidé de se réincarner l’été dernier pour participer à la libération et à l’Ascension.
Il y a donc des similitudes importantes entre l’œuvre et la réalité des mondes subtils, mais pas pour absolument tous les détails de l’histoire.
Crédit illustration : Gaius31duke
Par Samuel sous www.leretourdesdragons.com
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Lili :
Pour moi, c’est normal que les mondes invisibles utilisent des films « grand-public » pour dispenser leurs enseignements. Même à Hollywood, il y a des êtres sensibles, guidés consciemment ou non, qui réalisent leur Mission de vie, qui est l’ouverture des consciences.
Merci ce qui confirme mon ressenti envers ces films qui m’interpelle beaucoup dans mon âme encore merci à toi et tes guides
Ça a du sens, à part comment les edln ont fait pour voir ce film.
Et aussi, les gens qui financent et réalisent ces films sont à Hollywood, capitale de la propagande de notre société qui justement fait du tort aux edln.