Que nous comprenions ou non les mécanismes sous-jacents, nous assistons aux dernières convulsions de nos modèles sociétaux contrefaits. Nous les dénonçons parfois avec rage mais toujours dans un profond rejet de ce qui est en soi. Nous les ignorons régulièrement par dépits. Nous les tournons souvent en dérision par impuissance. Nous nous complaisons finalement de ce triste spectacle dans l’inique espoir d’en amoindrir les effets sur le pré carré de notre orgueil. Nos désirs et nos besoins sont toujours au-dessus de tout.
Les discours sur la fin du monde, ou eschatologie, alimentent complaisamment nos mécanismes de peur. L’addiction à cette énergie de peur est devenue viscérale. Par absence apparente d’alternative, les gens continuent de voter. Le pouvoir centralisateur et déresponsabilisant séduit comme jamais. Nous libérer de la responsabilité de nos actes tout en satisfaisant nos besoins de base est SI CONFORTABLE, pauvres hères que nous sommes !
Comment en sommes-nous venus à nous laisser contrefaire à ce point ?
J’ai fait un voyage. Un voyage que jamais personne ne m’a enseigné dans ma jeunesse. Un voyage que la science sans conscience ne reconnaît pas. J’ai visité un lieu que jamais aucun verset, épitre, canon, sourate, évangile n’a su retranscrire à sa juste grandeur. Ce soir-là, je me suis déployé comme jamais. J’ai retrouvé mon âme. Elle gardait précieusement toutes mes mémoires. J’ai compris à quel point notre conscience incarnée n’est qu’une fraction solitaire. La jouissance est immense de retrouver ses mémoires, je vous l’assure. Pas uniquement ses autres vies incarnées, mais toutes ses vies, ici sur Terre et ailleurs. De retrouver ses aspects multidimensionnels. Tout ce qui était important dans ma vie de tous les jours me parut dérisoire. Plus je redevenais complet, plus mes corps subtils vibraient à l’unisson jusqu’au corps physique allongé sur mon lit. Alors, j’ai pu ressentir la toute-puissance de l’Amour divin. Elle ne m’a pas imprégné, j’étais en elle, j’étais une part entière de cette vibration d’Amour. J’étais avec elle, j’étais avec mon corps physique qui pleurait à chaudes larmes, j’étais partout où mes multidimensionnalités se déployaient.
J’ai fait le voyage de retour. J’ai rendu une à une mes mémoires, ne gardant que le souvenir de leur contact extatique mais oubliant leur histoire. Je me suis rhabillé progressivement de ma personnalité, de mon égo, de mes peurs, de mes vils instincts, de ma charge karmique, de mes blessures émotionnelles. Rien n’a changé mais tout a changé. Le divin ne m’a pas allégé de mes maux ni libéré de mes blessures karmiques.
Le divin ne fait pas le travail à notre place.
Cependant, je suis revenu de ce voyage avec une conscience et une compréhension nouvelles. Et là, le monde qui m’a vu naître avait changé car j’ai changé cette nuit. Il a changé pour tous ceux qui ont déjà entrepris un tel voyage et il changera pour tous ceux qui vont être amenés à s’engager sur cette voie.
Il n’y a pas eu de raccourci. Oublié la chimère d’un processus d’ascension sans effort. Dieu n’accorde pas un sauf conduit pour revenir vers lui. Les guides qui m’ont accompagné tout au long de ce voyage m’ont laissé entrapercevoir un premier sommet à atteindre. Je sais d’où je viens et où je vais. Je dois maintenant m’atteler à une marche longue, remplie d’embûches et d’épreuves. J’ai pris conscience du changement de paradigme que je dois opérer en moi, seulement en moi, uniquement en moi. Le monde peut s’embraser mais seul le travail en moi pèsera dans la balance de Dieu.
La fausse lumière
En me réduisant de nouveau dans mon corps physique, je me suis rhabillé de ma personnalité et de mon mental. Je ne me suis pas débarrassé par magie des oripeaux de mon égo. Si j’ai compris ce que nous sommes TOUS en réalité, je ne pourrais jamais le faire comprendre à quiconque qui n’est pas prêt à s’y intéressé.
On façonne les esprits à jouir de plaisirs immédiats sans penser à l’éternité, par un flux tendu de stimuli et d’informations. L’homme cesse de se poser des questions. Un terrible aveuglement fait de l’homme un naufragé balloté par les évènements.
Nous voulons être libérés des vicissitudes de l’existence, fondement même des choix de notre âme. Ce qui n’évolue pas, se sclérose et meurt. Mais sans phare dans les ténèbres du monde, nous tournons en rond dans notre évolution de conscience. On subit passivement les effets du karma individuel et du karma collectif.
Nous nous inscrivons dans le mouvement perpétuel du bien et du mal dans l’univers clos de l’illusion. Car oui, tout ce qui m’entoure n’est qu’une construction vibratoire dense. Ce que mes yeux voient dans le quotidien est un hologramme. Un hologramme c’est de la lumière diffractée sous un certain angle pour restituer une image en relief. C’est exactement ce qu’est le monde physique sur Terre, une illusion d’optique. Celui qui est au-delà peut aisément manipuler celui qui se limite aux frontières de cet hologramme.
Alors tout ce qui attire à l’intérieur de cet hologramme est de la fausse lumière, ces cases blanches sur le damier de la dualité bien mal. On tente d’éviter de poser le pied sur les cases sombres. Mais allez vers la (fausse) lumière pour se cajoler ne rend pas plus lumineux. C’est en plongeant vers ses propres ténèbres que l’on révèle sa Lumière divine.
La véritable Lumière est au-delà de l’illusion de l’hologramme. C’est un puit à l’intérieur de nous qui nous y mène. Le puit parait sombre car il est obstrué par notre démon intérieur, notre Léviathan. L’affronter est inévitable et demande du courage.
Ne pas le faire, c’est se réincarner encore et encore, dans la fuite de soi au travers du damier de la vie terrestre.
Ne pas le faire, c’est continuer le mécanisme de l’idolâtrie propre à l’ère des Poissons. L’idolâtrie est le culte rendu à des idoles ou à des créatures adorées comme divinité même. L’idolâtrie c’est prendre les cases blanches pour la véritable Lumière unificatrice de Dieu.
L’ère du Poisson fut celle de la Croyance.
L’ère du Verseau sera celle de la Connaissance.
Dans un lent mouvement de 260 siècles pour remonter chacune des douze constellations du zodiaque, le point vernal de la Terre pointe progressivement sur le signe du Verseau. Ce point vernal où se trouve le Soleil le jour de l’équinoxe de printemps, les 20 et 21 mars de chaque année, est dans la direction de la transition des constellations du Poisson et du Verseau. Le signe du Verseau envoie son influx énergétique afin de façonner la psyché humaine différemment de celui issu du Poisson.
De l’individualisme à l’unicité
L’ère du Poisson fut celle de l’individualisme sans cohérence.
L’ère du Verseau sera celle de l’unicité dans la cohérence.
L’individualisme est une expression exacerbée de l’égo sous la loi du libre-arbitre. Cette individualité est revendiquée dans la plus grande cacophonie de comportements. Elle s’insère dans une trame sociale à laquelle elle est très largement perméable. Nous constituons une foule aléatoire qui se laisse influencer par les évènements. Plus nous cherchons à nous distinguer, en famille, en couple ou au travail, plus nous nous alignons sur les codes du système. Si le système se durcit et devient anxiogène, plus notre personnalité exacerbera sa nature chaotique, essence de l’individualisme ou service envers soi. Nos esprits nourris à la cause du système cherchent alors une idole complaisante. Cette idole prend souvent matière autour d’un personnage, mais peut être une cristallisation autour d’une cause ou d’une morale sociale à défendre. Cette idole offre la complaisance facile avec sa structure de valeurs. Elle conforte l’égo. Elle rassure le conditionnement adopté. Elle raisonne convenablement aux oreilles. Elle charme l’esprit naïf. Elle flatte les instincts grossiers. La décadence de l’esprit contemporain se nourrit de l’idolâtrie.
Alors que l’individualisme élève l’égo au-dessus de l’autre, l’unicité l’abaisse en faveur de l’autre et de la cause universelle.
La moralité se fonde sur la vibration du Cœur et sur la fermeté vis-à-vis de son égo. Sans autorité sur soi, le grand Soi, notre essence divine, ne peut reprendre sa place. La moralité sont les gestes concrets que l’on pose sur soi pour travailler ses défauts et guérir ses blessures émotionnelles.
L’immoralité se fonde quant à elle sur la complaisance vis-à-vis de son comportement. Nous pesons sans cesse l’autre. Nous définissons ce qu’il vaut pour nous. Il n’est plus la petite flamme bleutée qui brûle en son Cœur, identique à la sienne, issue du même Grand Feu qu’est Dieu. Il est une apparence physique qui excite mes hormones ou qui m’engendre indifférence ou dégoût. Il est un moyen pour satisfaire mes besoins ou un outil pour atteindre mes buts dans la vie. Il est un réconfort à mon vide intérieur ou un exutoire à ma noirceur intérieure.
On croit que cela est le cours normal de la vie. On croit… on s’assujettit au royaume de la Croyance.
L’ère de la Croyance
Dans le royaume de la Croyance, il n’y a pas de recherche du sens profond de la vie. Nous prenons acte que certaines personnes souffrent de maux physiques ou psychiques dès leur naissance sans qu’un lien de causalité puisse transparaître. Certains meurent dans la fleur de l’âge ou sont morts nés. D’autres sont sujets naturellement à la cruauté, au vice, à la dépendance aux drogues ou à l’alcool. La charge karmique est simplement rejetée du revers de la main. À l’inverse, des individus naissent dans un milieu favorable à une réussite matérielle, dotés de talents innés, de qualités morales et appuyés par une bonne santé. La grande majorité portent des fardeaux tout en s’appuyant sur des cadeaux.
Dans ce royaume de la Croyance, le hasard est l’explication des athées, la volonté du Très Haut celle des fidèles des doctrines religieuses. Les chrétiens aiment ainsi rappeler que les voies du Seigneur sont impénétrables, les musulmans citent notamment la Sourate Ibrahim, verset 27 : « Et Allah fait ce qu’Il veut ! ».
Tous s’entendent sur la nature temporaire de la vie physique sur Terre. Le corps est mortel, victime de l’usure du temps. L’âme est quant à elle éternelle. Son devenir n’intéresse que peu les athées. La conception du monde spirituel accueillant l’âme est par contre au cœur des conflits théologiques et du déchainement actuel des passions.
L’âme fut enfantée par la Conscience divine universelle afin d’explorer des possibilités infinies et ramener vers cette Source divine une plus grande compréhension. Engendrée par Dieu, l’âme est animée par l’appel de revenir en Dieu. Ce chemin de retour passe par une élévation de son niveau de conscience. Pour les hommes, cela passe par des épreuves et des expériences de vie sur Terre, qu’ils doivent surmonter et assimiler. Le corps physique s’usant prématurément depuis la perte de la connexion divine, l’âme en change. L’âme envoie alors une fraction d’elle-même dans le monde de la matière, en s’incarnant dans le corps d’un nouveau-né. Ce nouveau corps dans un scénario de vie différent offre ainsi l’opportunité de parfaire son élévation de conscience. Elle travaillera de nouveau sa capacité à s’affranchir des pulsions, des instincts et de l’attrait du monde matériel.
La résurrection est lorsque l’âme atteint un niveau de conscience suffisant pour se détacher de sa dépendance à un corps terrestre. Elle peut continuer à exprimer une forme dense ou privilégier une forme éthérée selon. L’âme a dompté les contingences et les pièges de la vie matérielle. Cette maîtrise passe préalablement par le détachement à la Croyance pour atteindre la Connaissance.
L’absence de Maîtrise est la soumission au Désir.
Le Désir est la dérive de l’être vers l’Illusion.
L’Illusion est le refus de la mise à l’épreuve de l’Âme.
L’Âme s’éloigne de la Vérité.
L’ère de la Connaissance
Dans le royaume de la Connaissance, l’être retrouve sa capacité à s’aimer, ce qui l’amène à aimer le divin en lui et in fine Dieu. Il déconstruit, pas à pas, son système de valeurs obsolète. Le besoin cède le pas. Il se vide des chimères égotiques qui animaient jusque-là ses paroles et ses gestes. Il abat, une à une, ses idoles de chaque piédestal intérieur. Il cesse de projeter vers elles son énergie. Il retire à son égo toute forme d’idolâtrie. Il se libère doucement de sa dette karmique.
Ce nouveau paradigme confronte l’ancien avec sa nature profonde. Ainsi, celui qui est encore dans la Croyance sait qu’il devrait être meilleur qu’il ne l’est. Il se sent embarrassé inconsciemment parce qu’il voit la discipline et la justesse de celui dans la Connaissance.
Plutôt que de s’améliorer, celui dans la Croyance prend le trajet le plus simple consistant à dénigrer et rejeter celui qui est dans la Connaissance. Il pratique la calomnie.
Afin de se sauver de la banalité, celui dans la Croyance peut à l’inverse idéaliser voire sublimer celui dans la Connaissance. En quête de cases blanches, il est enchainé à l’idolâtrie identitaire. Il pratique alors la fausse adulation.
Celui dans la Croyance appartient à la majorité. Elle constitue son armée. Elle lui est nécessaire pour défendre ses croyances car en se coupant de Dieu, il ne dispose pas assez de pouvoir. En se réunissant avec d’autres dans la Croyance, il pense avoir plus de potentiel.
Celui dans la Connaissance n’appartient à aucun groupe. Il est seul car il se gouverne seul. Il se découvre naturellement au-dessus en pouvoir sans avoir besoin de le démontrer à autrui. Sa connexion du Cœur à l’influx divin, en provenance de son âme, lui donne l’Épée et le Bouclier.
L’Épée lui prodigue la force de frappe pour trancher les hérésies et brandir intérieurement ce qui est juste et ce qui est en Dieu.
Le Bouclier le rend insensible à la force du nombre, à la calomnie, aux attaques, aux moqueries et aux menaces d’exclusion sociale. Le Bouclier le préserve aussi de la fausse adulation. Car face à la Lumière de la Connaissance, la Croyance peut soit révéler son Ombre soit tenter de s’accaparer des miettes de cette Lumière comme elle est conditionnée à le faire avec la fausse lumière.
La Connaissance est la quête de Vérité.
La Vérité est acceptation de sa Perte de connexion divine.
Cette Perte est le sacrifice pour la transcendance de l’Âme.
L’Âme embrasse la perfection de la Justice divine.
Les fondements de l’idolâtrie
À chacune de nos naissances physiques, nous sommes comme une graine jetée, encore et encore, dans un terreau de plus en plus trafiqué. Nous oublions à chaque fois d’où nous venons et où nous allons. Nous n’avons que cette Terre qui nous réceptionne comme source de nourriture pour croître, trouver sa place et comprendre le sens de notre vie.
Notre conscience est une étincelle divine détachée temporairement de notre âme. Elle se retrouve dans un corps physique périssable aux capacités limitées. L’environnement physique dans lequel nous baignons est changeant et hostile. Le mimétisme est alors la réponse principale afin de s’adapter. Cette réalité n’est pas propre au règne animal, elle constitue une forte composante du comportement humain. Pour répondre au besoin primaire de la survie, l’adhésion au groupe est instinctive. Nous tendons naturellement à imiter nos semblables afin de s’assurer de notre intégration sociale. Par ailleurs, l’apprentissage passe par la synchronisation de nos gestes et de nos attitudes sur ceux du groupe. On est programmé depuis notre naissance pour absorber les caractéristiques du modèle choisi ou imposé. Cette absorption va jusqu’à définir nos schémas de pensée, notre conception de la vie, les limitations que l’on s’impose, notre conception du bonheur et ce que nous croyons être nos besoins.
Le terreau a été préparé avant notre incarnation afin d’être fertile à l’idolâtrie. La performance de ce terreau se renforce de siècle en siècle grâce à la somme du karma de nos pensées et de nos actions dans chacune de nos vies. Il accroit sa redoutable efficacité à chaque descente de notre étincelle divine dans un corps de matière. Le piège se resserre toujours davantage.
L’idolâtrie est le conditionnement à placer les créations au-dessus de La Source créatrice de toute chose et de toute vie. En d’autres termes, à placer l’homme au-dessus de Dieu.
L’idolâtrie se fonde sur la modernité régressive. Notre civilisation est corrompue dans le but de faire glisser chacun d’entre nous vers le vide intérieur. Plus ce vide est creusé en nous, plus il lance l’appel d’être rempli. Une soif inextinguible s’empare de notre être au point d’accroître sa faiblesse. Une souffrance indicible s’empare de nous. Nous en venons à être de plus en plus désespérés à combler ce vide. Cet état nous rend propice alors aux manipulations.
Notre civilisation n’offre que l’homme à l’homme pour combler ces innombrables vides intérieurs.
Une coquille mortifère de croyances et de conditionnements nous empêche d’être flexible. Nous laissons entrer dans notre intérieur ce que la société nous offre. Tout ce que ces forces extérieures nous inondent pour abreuver notre soif ne sont que destruction de l’identité divine. L’uniformisation et l’induction de la solitude en sont la triste finalité. L’insatisfaction incessante est le poison distillé afin de nous faire ouvrir grand notre valve aux flots d’idoles.
L’agenda de l’idolâtrie
La dualité du monde terrestre et la polarité bien-mal sous-jacente sont si profondément présentes qu’elles apparaissent comme des aspects naturels de la vie.
Notre conscience incarnée est sans cesse distraite par les batailles de la dualité. On nous apprend à avoir un avis sur tout ou à travailler notre discernement. Nous croyons faussement que cela va nous amener vers l’être souverain, vers l’indépendance d’esprit, vers la liberté d’être et d’agir, vers la véritable Lumière. Non, tout cela nous maintient dans l’état de pantin dont les ficelles sont agitées par l’égo, lui-même manipulés par les forces au-delà de l’hologramme. Nous renforçons inconsciemment le paradigme de la dualité. Ombre et lumière, ou plutôt ombre et fausse lumière.
En demeurant dans le royaume de la Croyance, nous subissons une prédation de notre énergie d’âme. L’étincelle divine que nous sommes au fond de nous est reliée à son âme, donc à Dieu. Le flux d’énergie qui coule en nous est un mets de choix pour les forces obscures. Nous sommes une pile que l’on vide par les batailles duelles du quotidien, par les luttes du mental et par les besoins de notre égo. Nous nous rechargeons indéfiniment par l’énergie divine qui s’écoule naturellement en nous.
Ce flux descend en nous afin de nous permettre d’expérimenter Dieu afin que celui-ci se connaisse au travers de ses individualisations que nous sommes. Au lieu d’être rendu au divin, ce flux énergétique est détourné et canalisé vers ces forces sombres.
Notre univers est marqué par une lutte énergétique dont l’enjeu est le contrôle du plus d’énergie possible.
Mais ce que ces forces obscures ne maîtrisent pas dans la boucle esclavagiste des réincarnations est que :
De la répétition émerge la variation
On s’incarne de vie terrestre en vie terrestre avec comme seul horizon ce damier de cases obscures et de cases d’une fausse blancheur. On reçoit l’influx énergétique de notre âme qui nous attend au-delà de l’hologramme du monde terrestre, en contact direct avec Dieu. Nous sommes enchaînés à notre égo, devenu cheval de Troie de forces obscures afin de se nourrir de nous sans fin. Le durcissement de notre monde tente de contrebalancer la probabilité d’un réveil, d’une variation dans la répétition.
La variation n’a pas à être totalement spontanée, elle s’apprend aussi…
… voilà ce qu’est Le Retour des Dragons
… le partage de mon apprentissage.
Pour une lecture paisible, vous avez la possibilité d’imprimer l’article :
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Samuel :
Les anglophones ont l’expression « Thinking outside the box », sortir du cadre de pensée pour envisager des perspectives nouvelles. Si la boîte nous est imposée et si nous l’acceptons comme seul horizon, nous gardons quand même le potentiel d’élargir nos pensées au-delà de cette boîte. Tout ce que nous faisons dans cette boîte ou au-delà de cette boîte nous est attribuable. Nous pouvons être influencé par nos mémoires d’expérience, par des influences extérieures, mais en aucun cas cela diminue la pleine responsabilité de nos actes et de nos pensées. C’est parce que nous laissons notre esprit devenir faible que nous claironnons n’avoir pas le choix ou que c’est à cause de ceci ou de cela. La perception d’un sentiment d’injustice relève de cette même faiblesse. Par confort, par apathie, par manque de volonté, par souffrance, nous « croyons » qu’un % ne relève pas de soi. Si la manipulation est réelle, la culpabilité est illusion car nous acceptons seulement qu’elle règne en nous.
Bonjour Samuel,
Je suis nouvelle, je tiens à te dire que tes articles sont passionnants. Le passage où tu parles du fait que l’homme doit s’extirper de sa condition pour briser cette chaîne du cycle des réincarnations. Tu es malheureusement un des rares à le dire et tu me rejoins en tout point. En effet, j’ai pu constater que beaucoup de « médiums » disent que l’homme ne peut échapper à la réincarnation ici-bas car c’est ici qu’il évolue le plus et qu’en gros nous n’avons pas le choix car on est peu évolué. Eh bien JE PENSE COMME TOI LE CONTRAIRE. J’ai réalisé que c’est leur égo qui parle, car même s’ils ont des capacités, comme tous les humains leur connaissance est limitée. C’est une approche où ils se placent dans la posture qu’ils détiennent la vérité et ils limitent ainsi ceux qui les écoutent à pouvoir regarder plus loin que la réalité humaine physique terrestre.
Je pense que beaucoup de leurs communications passent par leur égo et leur mental là ou ils devraient apporter un nouveau souffle en ouvrant justement le champs des possibilités.
J’ai aussi pu comprendre que l’intuition n’est parfois pas aussi clair et peut se confondre avec le mental. Aurais-tu un conseil pour ça ?
Et que l’intuition c’est aussi être attiré par des affinités envers tel domaine, tel sujet, telle culture sans comprendre pourquoi.
Je repense ainsi à une personne qui soulignait que les choses enfouies se révélaient et que parfois on ne faisait que relire un livre qu’on a oublié. C’est-à-dire retrouver des savoirs d’incarnations passées.
Je souhaite au monde de pouvoir enfin changer et aux êtres à pouvoir savoir qui ils sont et à trouver la paix.
Si ces temps glorieux arrivent dans peu de temps, j’espère pouvoir les vivre.
Merci à toi
Marie-Laure
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Samuel :
Bonjour Marie-Laure,
La roue des incarnations est un cercle vicieux, nous revenons dans une nouvelle vie car notre conscience incarnée, extension de notre âme, remonte vers celle-ci avec la conviction d’avoir le poids de ses échecs. L’Âme est pour moi le Soi lunaire. Elle attend de pouvoir rejoindre l’Esprit, la partie éternelle de notre être, je l’appelle notre Soi solaire. Mais notre petit soi terrestre lui se sent coupable d’un pêché, celui de ne pas avoir été parfait dans son incarnation.
Je me souviens de ce que j’ai vécu entre ma dernière incarnation et celle actuelle. Lorsqu’on meurt, on se réapproprie une lucidité incroyable où nos réussites et nos échecs nous apparaissent limpidement. Nous sommes détachés complètement de l’égo, celui qui nous voile tel que nous sommes en vérité. Et on a envie de revenir pour faire mieux la prochaine fois. Sauf que la prochaine fois, nous oublions de nouveau et nous créons encore du « karma » tout en résolvant des blessures karmiques.
Notre Soi solaire et notre Soi lunaire savent que nous sommes des êtres parfaits soumis à une épreuve incroyable, être confronté à des expériences de dualité et de séparation extrêmes. Nous venons apprendre mais il n’y a pas besoin d’un 10/10 pour dire okay j’ai assez joué sur la matrice holographique de la vie terrestre, j’ai appris beaucoup mais je n’ai pas besoin d’être sadomasochiste au point d’enchainer sans fin des vies de souffrance et de séparation. J’accepte de ne pas avoir réussi toutes les mises en situation, j’en ressors quand même grandi et transcendé. Je peux retourner vers ma famille galactique originelle pour leur partager mes acquis. Et cela QUAND ON LE VEUX en comprenant que c’est la croyance qu’on a quelque chose à réparer qui nous voile la possibilité de sortir du cycle de réincarnation. Les différentes épreuves de la vie incarnée sont assombries par les ténèbres qui tentent par tous les moyens de nous marquer au plus profond de nous-même d’un sentiment de FAUTE. Je caricature et je simplifie grandement…
J’essaye toujours de lire le maximum de tes articles bien que je ne semble pas présent dû au fait que je ne suis pas bavard.
Ce n’est pas la solitude qui est le plus dur pour moi. Au contraire maintenant ça m’est égal. Tout ce que je crains, c’est ce que je peux infliger aux autres, ce que je peux devenir, je suis mon propre ennemi.
Ce vide pour moi c’est un rappel, que je n’ai pas à me plaindre, que d’autres créatures en ce monde subissent bien plus que moi, qu’il faut prendre ses responsabilités. Je ne m’y adonne pas autant que je le voudrais malheureusement.
Je crois que tous nous avons le même potentiel, seulement d’autres n’en ont pas conscience ou n’y croient plus.
Ne t’en fait pas pour moi Samuel je ne me mutile pas physiquement, mais si tu peux faire quelque chose pour ces jeunes fait le car eux ils ont besoin d’aide.
Avant que j’oublie bonne année, qu’elle soit fortuite à tous et à vos guides.
Killian
Bonsoir
J’entends depuis quelques temps cette petite voix en moi qui me dit « de revenir écrire ici », et finalement après de long mois sans l’écouter il peut être temps de suivre son conseil. De toute façon, je m’en suis fait la promesse. Je vais essayer de partager mon cheminement. Peut-être le fait de l’ouvrir à d’autres vues permettra à vous autant qu’à moi de trouver certaines clés.
Par où commencer, si ce n’est par ce sentiment de vide qui me submerge depuis plusieurs mois. Cette impression de ne plus croire en rien, en personne pas même en moi-même. Ne plus rien ressentir d’ailleurs juste le froid et la douleur, je ne savais plus qui j’étais ni pourquoi je cherchais à avancer. J’étais une coquille vide, un réceptacle sans aucun but.
Je ne veux faire souffrir personne même mes propres guides si je les sens bien. Je leur ai demandé de m’abandonner que qu’était ma faute, que c’était à moi de trouver une solution pour m’en sortir. J’ai considéré cette douleur comme mon propre combat et si j’entendais sans cesse que je devais en parler je me disais que je n’en n’étais pas digne bien au contraire « nous sommes la cause de ce qui nous arrive », j’ai fermé mes oreilles à ces voix.
Je voulais connaître la vérité sur moi, croyant trouver à travers elle la réponse à ce vide, même si devait être lourde la porte, voir je voulais qu’elle soit lourde à porter. J’en suis arrivé à considérer toutes traces de joie comme un piège de l’égo seulement manque de chance j’étais en plein dans son cœur.
Résumé de l’histoire, j’ai passé tout ce temps à me mutiler davantage, car je croyais que ce vide n’était que le reflet de ce que j’étais, que je ne valais rien.
Je crois à présent que ce vide, je dois le combler, de quoi je ne le sais pas encore mais je finirai par trouver.
Merci à tous pour vos partages qui m’ont fait prendre conscience de mon erreur.
-
Samuel :
Bonjour Killian,
Je suis vraiment heureux de te retrouver ici et de te lire.
En décembre, mes guides m’ont demandé d’ouvrir un compte Instagram et de commencer à m’abonner à d’autres personnes. Je ne sais pas quel hasard, je suis arrivé très rapidement dans des groupes privés de jeunes pris dans la spirale de l’automutilation. Les images partagées sont crues et sanguinolentes. Mais ce sont surtout les mots écrits qui m’ont le plus touché. Je ressentais leur vide intérieur, leur perte d’appui et leur navire intérieur sans boussole et sans gouvernail.
La première fausse perception est de croire que l’on est seul à vivre cette situation. Elle habite le cœur de beaucoup plus de personnes qu’on le croit. Ce vide s’exprime plus ou moins fortement en chacun mais TOUS nous l’avons. J’aimerai que tu lises mon prochain article, celui sur les Kumaras. J’en commence l’écriture. Je partagerai une perspective élargie de ce sentiment terrifiant de vide.
C’est tout à fait normal de passer par des étapes de doutes, de culpabilités, d’auto sabotage et d’auto dévalorisation. Je l’ai vécu, nous l’avons tous vécu.
Ceux qui vivent le plus intensément ce vide sont ceux qui renferment le plus grand potentiel. Ne l’oublie pas!
Voici le message d’un être de lumière.
Désolé pour l’autre avant, il n’était pas complet.
Il faut savoir se développer en établissant une recherche
à plusieurs paliers et directions.
En voici un de…
M.Lucien. de Transition 2017
Titre : RE: fatigue et autres sympt…
Ajouté : Le 10/01/2017 21h31
Messages : 935
Inscription :
Le 06/08/2010 11h17
Bonjour.
Voici un beau texte qui vous donnera un tas d’informations.
Accueillir le changement dans la joie
Vous voilà arrivés aux huit dernières années de la grande transformation, et vous commencez à grimper la courbe exponentielle de la montée des énergies, et par conséquent de la pression.
Votre aura sera de plus en plus palpable. Votre corps énergétique deviendra une peau extérieure palpitante et sensible qui vous sera aussi réelle que votre corps l’est actuellement. Au départ, que sentirez-vous le plus intensément ? Les parties défectueuses ! Les dommages, les bagages et les blocages énergétiques que vous portez deviendront un problème. En effet, les médecins ne sauront que faire avec ce qu’ils ne peuvent ni voir, ni comprendre, ni mesurer.
Vous commencerez également à sentir l’épuisement énergétique de votre corps physique, requis pour toutes vos activités. Ainsi, vous sentirez les limites de votre temps, de votre énergie et de votre argent, et si vous travaillez au-delà de ces limites, vous deviendrez physiquement malade ! Autrement dit, imaginez ces nouvelles énergies montantes comme une grande passoire dans laquelle vous entrez et que vous essayez de traverser en poussant. Tout ce qui peut passer à travers, ce sont les aspects de vous dont l’énergie est la plus élevée. Les parties dont l’énergie est la plus faible, les blocages de vos différents corps, seront coincés et par le fait même vous retiendront. Votre véhicule, et toutes ses couches, doit être suffisamment purifié pour traverser la passoire.
Pendant la transition, vous demeurerez dans votre corps, mais ce corps et les expériences que vous ferez prendront de l’expansion. Alors vous continuerez à vous préoccuper de votre survie, mais vous aurez également un besoin de moins en moins grand de choses pour être heureux. Vous renouvellerez votre appréciation du silence ou de la musique, plutôt que le murmure continuel du téléviseur et de la radio. Vous serez plus à l’aise dans des fibres naturelles et des vêtements amples, plutôt qu’en suivant la mode. Des objets tridimensionnels deviendront de moins en moins importants, car votre identification viendra d’une validation intérieure plutôt que des biens extérieurs et de l’apparence.
La beauté et la grâce intérieures rayonneront, vous verrez !
Pour accéder à l’ascension, c’est-à-dire avoir la pleine maîtrise de votre être, deux éléments sont requis:
1. Rien, ni personne, ne doit avoir de pouvoir sur vous.
2. Vous devez atteindre un …
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Hors Ligne Lucien
Membre Titre : RE: fatigue et autres sympt…
Ajouté : Le 10/01/2017 21h33
Messages : 935
Inscription :
Le 06/08/2010 11h17
Suite.
Pour accéder à l’ascension, c’est-à-dire avoir la pleine maîtrise de votre être, deux éléments sont requis:
1. Rien, ni personne, ne doit avoir de pouvoir sur vous.
2. Vous devez atteindre un état de bonté, afin que votre capacité de manifester ne crée rien de négatif. Vous devez avoir le contrôle total de vos pensées et de vos émotions afin de pouvoir maîtriser votre capacité de manifester en alignement avec la conscience divine.
Apprenez à vous détacher des drames que vous n’avez plus besoin de jouer. Lorsque vous changerez votre façon de jouer le jeu de la vie, tous les autres joueurs autour de vous seront obligés de suivre.
Vous êtes énergétiquement responsables de votre propre perspective.
Si vous commencez à voir le drame qui vous entoure, les rôles archétypaux que les gens jouent inconsciemment, vous n’en aurez plus besoin. Une fois ces leçons reconnues, vous les dépasserez. L’essentiel consiste à sortir du jeu avec grâce, à prendre un peu de recul, à observer, et à ne pas laisser votre mental et vos énotions intervenir. Attendez dans votre perspective spirituelle (supérieure), jusqu’à ce que vous puissiez répondre de manièe appropriée, au lieu de réagir inconsciemment.
La différence ?
Une dizaine de secondes pour respirer, détendre votre corps et attendre.
Voici la clé du détachement : si vous n’avez rien à gagner ni à perdre de cette situation, alors celle-ci et les gens qui y sont engagés n’ont aucune influence sur vous. Vous avez plein pouvoir et ne pouvez être déstabilisés.
Avez-vous dégagé toutes les peurs de vos systèmes, de vos pensées, de vos émotions, de votre corps, de votre foi ?
Pouvez-vous aimer toutes les formes de vie ? Et pardonner énergétiquement à ceux qui vous ont offensés, que vous puissiez ou non le leur laisser savoir ? Vous êtes-vous pardonné toutes vos erreurs ? Pouvez-vous le croire, dans votre cœur, quand vous affirmez : « JE SUIS PARFAIT COMME JE SUIS » ?
Répétez cette phrase comme un mantra, et voyez si elle vous convient. Répétez-la jusqu’à y croire, puis poursuivez ainsi, encore et encore. C’est votre nouvelle étiquette. Plus vous croyez chacun en vous-même, plus les gens de votre entourage changeront et se mettront aussi à croire en vous. Même si vous ne pouvez physiquement modifier votre situation, vous pouvez transformer votre point de vue par rapport à cela et voir toutes les règles changer radicalement en votre faveur.
Rappelez-vous ceci : Les gens ne peuvent vous blesser que dans la mesur…
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Hors Ligne Lucien
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Ajouté : Le 10/01/2017 21h35
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Suite.
Rappelez-vous ceci : Les gens ne peuvent vous blesser que dans la mesure où vous le leur permettez.
C’est simple : dès que vous mettez vos peurs de côté et considérez votre vie impartialement, vous gardez ce qui est bon et modifiez ce qui est mauvais. Ou vous changez votre perspective quant à ce qui est mauvais, et trouvez ce qui es bon. Votre emploi est peut-être ennuyeux, mais votre seule présence en ce lieu, parmi ces gens, peut sans doute ancrer la lumière.
Éveillez-vous. Regardez tout avec des yeux neufs et l’émerveillement de la vie éternelle, étalée en une si belle gamme d’innombrables notes. Si vous regardez chaque occasion dans une perspective de sérénité plutôt que de colère, de gentillesse plutôt que de haine, les leçons deviendront des cadeaux.
Vous commencez chaque journée par un moment d’introspection, cela intensifiera votre expérience de tout ce qui vous entoure.
C’EST CELA L’ASCENSION ! C’est tamiser toutes les pensées et réactions et ne choisir que celles qui vibrent avec amour, jusqu’à ce que cela devienne une habitude, jusqu’à ce que les mauvaises pensées ne figurent même plus dans vos choix. Jusqu’à ce que vous ayez fait une habitude de votre nouvelle zone de confort dans la quatrième et dans la cinquième dimension.
Il s’agit d’un éveil graduel où vous devez vous pardonner chaque faux pas et continuer d’avancer dans la foi, l’espoir et la joie. Cherchez la joie de votre cœur, et tout le reste tombera en place en cours de route.
Accueillez le ciel sur terre. Il est ici pour que chacun de vous le crée et le soutienne
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Ajouté : Le 10/01/2017 21h31
Par Lucien de transition 2017
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Bonjour.
Voici un beau texte qui vous donnera un tas d’informations.
Accueillir le changement dans la joie
Vous voilà arrivés aux huit dernières années de la grande transformation, et vous commencez à grimper la courbe exponentielle de la montée des énergies, et par conséquent de la pression.
Votre aura sera de plus en plus palpable. Votre corps énergétique deviendra une peau extérieure palpitante et sensible qui vous sera aussi réelle que votre corps l’est actuellement. Au départ, que sentirez-vous le plus intensément ? Les parties défectueuses ! Les dommages, les bagages et les blocages énergétiques que vous portez deviendront un problème. En effet, les médecins ne sauront que faire avec ce qu’ils ne peuvent ni voir, ni comprendre, ni mesurer.
Vous commencerez également à sentir l’épuisement énergétique de votre corps physique, requis pour toutes vos activités. Ainsi, vous sentirez les limites de votre temps, de votre énergie et de votre argent, et si vous travaillez au-delà de ces limites, vous deviendrez physiquement malade ! Autrement dit, imaginez ces nouvelles énergies montantes comme une grande passoire dans laquelle vous entrez et que vous essayez de traverser en poussant. Tout ce qui peut passer à travers, ce sont les aspects de vous dont l’énergie est la plus élevée. Les parties dont l’énergie est la plus faible, les blocages de vos différents corps, seront coincés et par le fait même vous retiendront. Votre véhicule, et toutes ses couches, doit être suffisamment purifié pour traverser la passoire.
Pendant la transition, vous demeurerez dans votre corps, mais ce corps et les expériences que vous ferez prendront de l’expansion. Alors vous continuerez à vous préoccuper de votre survie, mais vous aurez également un besoin de moins en moins grand de choses pour être heureux. Vous renouvellerez votre appréciation du silence ou de la musique, plutôt que le murmure continuel du téléviseur et de la radio. Vous serez plus à l’aise dans des fibres naturelles et des vêtements amples, plutôt qu’en suivant la mode. Des objets tridimensionnels deviendront de moins en moins importants, car votre identification viendra d’une validation intérieure plutôt que des biens extérieurs et de l’apparence.
La beauté et la grâce intérieures rayonneront, vous verrez !
Pour accéder à l’ascension, c’est-à-dire avoir la pleine maîtrise de votre être, deux éléments sont requis:
1. Rien, ni personne, ne doit avoir de pouvoir sur vous.
2. Vous devez atteindre un
Bonjour à toi Samuel.
Félicitation ! Ton cheminement a été prédictif. Un cheminement qui pourrait aider plusieurs êtres à cheminer en eux. Heureusement, le cheminement ne s’arrête pas là. (Sourire)
Des êtres comme toi peuvent concevoir des pyramides ou des châteaux. Ils peuvent aider leur frères car toutes les esprits sont frères. À chaque fois que tu croises un être, tu ressentiras que tu le connais comme toi.
Tu as eu un beau cheminement.
Je te remercie pour tout ces beaux partages. Maintenant, tu conçois sans pierre et sans outil.
L’esprit te mènera où bon tu voudras.
Merci encore pour tout ce partage.
Bien à toi.
Christian.
Pour vraiment se libérer des illusions de l’égo, notre tâche consiste à élargir notre CERCLE DE COMPASSION jusqu’à y inclure toutes les créatures vivantes et la nature complète, ce qui mène à la compréhension de l’Infini. Les Dragons sont des entités d’où procède le principe de Vie. Il est impératif de cesser de se regarder le nombril et de s’auto-analyser dans un infini égotique. Il faut agir et briser cette fausse cage de verre, cette illusion d’optique que nous sommes nous-mêmes des Dieux, des idoles perdues dans les abysses d’un égo qui nous berne et nous fait perdre un temps précieux, pendant que tout le reste se dégrade. Cet égo nous empêche de nous unir au Souffle du Dragon qui est la Vie, qui la répand et la protège, ce à quoi nous devons nous aussi nous attacher en sa compagnie. L’EMPATHIE est un élément essentiel à acquérir en recevant une partie de celle du Cœur du Dragon, qui nous ouvre à autre chose que nous-même…
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Samuel :
Nous avons la Croyance d’être des Dieux, oubliant la Connaissance que nous sommes tous Dieu, créatures et consciences confondues, confondant cette distinction entre être des Dieux et être Dieu à cause de l’intercession de l’égo…
Bonjour Samuel
Merci pour cet article, très dense effectivement ! J’avoue bloquer sur un passage de « l’ère de la connaissance », c’est peut-être une incompréhension… Il me semble que ceux engagés sur cette voie ne devraient jamais cesser de s’améliorer, ni penser être « au-dessus en pouvoir ». La connexion du cœur à l’influx divin donne peut-être, mais exige surtout beaucoup. Chacun poursuit son chemin en fonction de son degré d’évolution et les « plus évolués » peuvent aussi apprendre des « moins évolués » (dans ton exemple de la calomnie : soit je suis touché par elle et alors je dois identifier ce qui coince et me réajuster, donc progresser, soit elle glisse sur moi… et elle disparaîtra d’elle-même car elle ne sera plus alimentée).
Je pense aussi que celui dans la connaissance peut appartenir à un groupe (et les Templiers, alors ???!!), que justement, l’un des défis de l’incarnation est cette connexion aux autres car l’autre, quel qu’il soit, est un miroir qui me permet de mieux me connaître et de m’améliorer. L’enjeu serait d’être relié à ce qui nous dépasse, avoir l’esprit d’alliance, tout en ayant la force de l’indépendance et du non-attachement. C’est aussi un trait de caractère du Verseau, signe de liberté mais très sensible aux valeurs de fraternité et d’amitié…
Enfin, sur la phrase « le désir est la dérive de l’être vers l’illusion », je crois que le désir peut aussi être cette flamme précieuse qui nous fait sortir de notre torpeur et nous pousse au dépassement… si tant est que l’intention soit pure… non ?! 😉
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Samuel :
Qu’est-ce qu’être au-dessus en pouvoir ?
L’article est volontairement dense mais, à mon corps défendant, ne se voulait pas être si hermétique. L’inspiration est venue telle quelle.
Énoncer être au-dessus en pouvoir vis-à-vis de ceux qui sont dans le royaume de la Croyance a tout pour interloquer. Le sens que je donne ici au mot pouvoir est celui de « potentiel » et non pas celui d’une énergie qui donnerait un ascendant sur autrui.
Avant d’avoir revécu mes inter-vies, les périodes où mon âme n’a pas envoyé une étincelle de vie s’incarner dans un corps, j’avais peur de ne pas aimer cet « au-delà ». Je me disais que cela ne m’intéressais pas d’être « vaporeux », que je voulais revenir me réincarner encore et encore.
Après l’avoir revécu, j’ai redécouvert le potentiel de mon âme qui est à ma porté même en étant incarné. Ce potentiel ne sont pas que des capacités nouvelles, ne sont pas que des connaissances. Ce que j’ai ramené, c’est une force, c’est une détermination, c’est une perspective nouvelle de soi. Tout ce qui m’arrive dans la vie, je ne le vois plus du tout comme avant. Ce que l’on projette de négatif sur moi, je ne le vis plus de la même manière. Je ne dis pas que cela ne m’affecte pas, je dis que cela a de moins en moins d’emprise. Alors quand ceux dans la croyance tente une forme d’emprise, juge, cherche à influencer et que cela n’a plus de prise, c’est ce que j’appelle être au-dessus. Cela n’a pas la connotation d’être supérieur ni de dire que l’on ne doit pas continuer à s’améliorer. Cela veut dire que la bande fréquentielle est différente. Dans la Connaissance, la fréquence vibratoire est plus rapide et si on la met sur une échelle de fréquences, ce qui vibre plus vite vibre « au-dessus ».
Être dans la Croyance ou être dans la Connaissance, c’est autant de travail d’amélioration de soi, car ce travail est infini. On l’effectue simplement sur une autre octave en étant dans la Connaissance. On se met de plus en plus hors de portée. Dans la Croyance, on a pas une direction claire pour s’améliorer, on a un Chemin mais dans le brouillard. Dans la Connaissance, on a un Chemin, éclairé par notre âme, éclairé par Dieu. Qui a alors le plus de pouvoir, le plus de potentiel ?
Bonjour Samuel
Comme toujours tes articles ont le don de poser encore plus de questionnements en moi et également toujours plus de doutes. Où mon égo s’arrête ? Où mon âme débute ? Tu me fais sortir de mes sentiers et tu frappes encore sur quelque chose en moi que je n’arrive pas à comprendre et à accepter. Merci pour ton partage qui de nouveau arrive à me faire vibrer et m’exposer en face tout ce qui me trouble au fond de moi.
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Samuel :
La frontière est vague car l’égo use d’astuces pour nous laisser croire à son retrait. Elle est aussi vague car l’égo et l’âme sont et doivent rester indissociables. Sans égo, il n’y a pas d’expérimentation de l’âme sur Terre, dans la dualité. Sans âme, nous deviendrions des golems animés d’instincts et de programmations comportementales programmées… humm d’ailleurs n’est-ce pas ce que souhaitent nos dirigeants ?!?
Bonjour Samuel
J’ai lu votre texte sur messages célestes. Merci de ce partage tellement lumineux…
Avez-vous un site perso ? Connaître votre évolution me plairait beaucoup si cela est possible… nous ne savons pas toujours comment faire avec nos ressentis et s’inspirer des autres peut donner des clés. Merci infiniment.
Au bonheur de vous lire,
Carole
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Samuel :
Bonjour Carole, tu es sur mon blogue où est rassemblée une centaine de publications depuis 2014 😉 Je t’écris par courriel.
Bonsoir,
Une impulsion m’anime de partager ici quelques-unes des clés découvertes au fil de ma route ; clés pour ouvrir les portes de prison, pour alléger les pesanteurs mentales qui n’en peuvent plus de leurs propres maux/mots et pour désintégrer les filtres qui ne sont plus nécessaires dans l’ici et maintenant. J’espère ne pas être hors sujet par rapport au propos du texte…
Dans le présent, on a le choix de l’expérience vécue. Dans le passé et le futur on est dans l’illusion, la souffrance et la projection. Avoir le choix de l’expérience vécue, c’est se reconnaître depuis son centre, dans la fluidité de l’interface avec laquelle nous expérimentons. C’est permettre au Maître intérieur de venir au premier plan de l’expérience, du jeu dans ce plan.
C’est choisir la qualité de ce que nous souhaitons expérimenter : l’attitude juste ; la recherche de cohérence en tout : pensée, parole et acte ; le choix d’allier toujours intention claire et pure, responsabilité et liberté.
Avec en premier plan l’exigence d’être authentique vis-à-vis de ce qui est vécu, depuis le champ de conscience expérimenté dans la situation. Que j’expérimente une crise depuis le miroir de l’égo afin de révéler une souffrance non encore résolue résonnant dans mon champ ou que je communie avec le Vivant au point de m’y fondre en extase dans le présent éternel…
Comprendre que la répétition, la reproduction est l’enfermement ; que la réalité du vivant est qu’il est à la fois éternel et toujours nouveau et différent ; la linéarité perçue se révèle seulement un filtre optionnel et dépassable. Si l’on croit que l’on est coincé dans une matrice fermée… on l’expérimente, c’est le principe d’être assujetti à la croyance. Osons décider de revenir toujours à l’intention principale, claire et authentique émise par l’âme ; attelons-nous à nous discipliner suffisamment pour choisir de ne pas prendre les vieux circuits des schémas limitatifs éculés et des expériences jouées des millions de fois ; engageons-nous envers nous-même à vivre la VIE, à défricher hors des sentiers battus en y trouvant le sel du jeu.
Les filtres de perception, de croyances, d’héritages, ne sont que des voiles créant des circuits qui ne sont pas obligatoires. En revanche ils sont empruntés donc actifs : il s’agit de choisir en conscience d’ouvrir de nouveaux chemins, de créer de nouveaux circuits et de les passer en mode prioritaire, ce sont nos synthèses innovantes, nos solutions de transmutation et de sublimation en réponse aux défis, aux épreuves que nous traversons : cela s’appelle la Maîtrise, qui n’a rien à voir avec la volonté de contrôle de l’égo basée sur la peur et la survie. Ne plus prendre les circuits inconscients « par défaut » programmés par l’égo reptilien. Se reprogrammer en conscience. Décréter que l’on se rappelle et que l’on ancre nos expériences « au-delà », qu’elles nous sont toujours accessibles.
Si l’on s’engage de manière intègre en veillant toujours à privilégier la Joie, l’émerveillement, la gratitude devant les petites choses, on évite l’écueil de l’intégrisme, du jugement et de l’orgueil et on plonge dans le monde où l’âme agit.
Ce monde où l’âme agit EST. Ce n’est pas une illusion de la matrice dominante 3D ; c’est un champ de conscience et d’expérience disponible à chacun, pour peu qu’on accepte de s’y engager et qu’on s’autorise le grain de folie qui transcende, qu’on franchisse nos frontières et qu’on repousse chaque fois un peu la limite antérieure.
Bien sûr nous vivons dans un cadre cyclique en longues spirales, nos interfaces sont formées et encombrées de couches, de strates, et une vertu magistrale est la patience, qui nous permet de persévérer, de revenir toujours à l’essentiel et qui nous permet de nous tolérer, de nous supporter, de nous accueillir tels que nous sommes à chaque instant.
Une grande aide intérieure est arrivée aussi le jour où j’ai accepté de me rendre. Vis-à-vis du Maître intérieur, de ce que j’appelle ma Présence divine et que chacun nomme comme bon lui semble. Le jour où j’ai admis depuis la personnalité que ladite personnalité était une interface limitée et largement incompétente en bien des domaines, et qu’en revanche siège à l’intérieur, dans le centre du Cœur, une conscience d’une sagesse et d’un amour immenses et qu’elles étaient accessibles et n’attendaient que ce moment de la reddition… quel soulagement ! j’y ai appris la foi et la connexion à l’âme, j’y ai appris à me fier à mon fil intérieur et à rechercher toujours à revenir à ce centre, car là est la réalité.
J’y ai trouvé la porte Yin, celle de l’accueil, de l’acceptation de la qualité fondamentale de l’être humain d’être-pont, d’être-canal doué du potentiel de communion et de compassion, ceci essentiellement et premièrement depuis l’intérieur, et aussi depuis le corps, l’univers abordé par l’infiniment petit.
Au plaisir de continuer de partager et s’entraider depuis la conscience de la fluidité de chaque instant et de la plasticité des champs de conscience et d’expérience. Adelante !
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Samuel :
Partager comme tu le fais ici Véronique, c’est s’entraider, c’est apprendre tous ensemble. Alors même que l’instantanéité et le périssable sont les marques de notre société, qu’il est bon de prendre le temps d’aller vers soi, en profondeur, en douceur comme tu nous le proposes ici. Un grand merci, c’est un plaisir partagé de te lire 😀
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Christian :
Bonjour Véronique.
Sage tu es.
Toucher l’œuvre est fascinant.
En transcender les vertus est encore plus fascinant.
Sage tu es.
Le cœur nous porte plus haut que l’être, le père n’en est que plus fier.
S’il pouvait sourire, il te sourirait.
Un clin d’œil d’amour infini t’es accordé. De toi à toi.Merci pour ce beau partage.
Bonjour Samuel,
j’ai lu votre article avec attention, entièrement d’accord avec ce qui est écrit !
J’ai pris conscience depuis longtemps que dans ce monde tout est régi par l’homme pour l’homme comme c’est si bien dit dans l’article plus haut !!
J’ai commencé depuis quelques mois ce travail sur moi, mais pas facile et perturbant aussi !!
Au plaisir de lire un nouvel article,
cordialement.
Birwenn
Merveilleux, magnifique, merci infiniment Samuel!
Paix, Amour et … Variations alors! ^^
G
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Samuel :
C’est un article dense, volontaire dense qui ne se comprendra sûrement pas avec une seule lecture. Il pose les bases de mes prochains articles. À chacun de s’approprier ici les clés nécessaires à la compréhension de la suite.
Bonjour Samuel, je viens de finir votre article. MERCI. Tous vos articles me font du bien car ils relatent exactement ce que je pense aussi et ce que je vis. Je ne sais pas où vous vivez, mais je vous souhaite une très belle et lumineuse journée. Namasté.
Fabienne
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Samuel :
Merci Fabienne 🙂 Mes articles sont là pour poser des jalons. Ils sont avant tout là pour donner l’élan à la transformation intérieure de chacun.
Bonjour Samuel, suite à la lecture de ton article je me permets d’attirer ton attention sur un point qui pour moi manque un peu de cohérence dans la partie sur les fondements de l’idolâtrie.
Dans cette partie, tu nous dis que suite au mimétisme et à l’association à un groupe, nos schémas de pensée se retrouvent être définis à notre propre insu. (je résume grossièrement)
Dès lors que nos schémas de pensée ne sont pas les nôtres, les pensées qui en découlent ne sauraient nous être attribués à 100% et de ce point je trouve qu’il y a une quelconque forme d’injustice à se voir attribuer une charge karmique pour des pensées qui ne sont pas tout à fait de nous.
À moins que ce ne soit un autre piège de notre égo, visant à nous faire croire que ces pensées sont bien les nôtres et nous faire assumer notre part de culpabilité.