Le rêve est un état modifié de conscience. Bien que nous en soyons généralement le personnage central, le rêve nous anime davantage que nous avons de prise sur lui. Cela nous permet de toucher à une part de nous libérée du système de contrôle du mental et de l’égo. Ils sont tellement omnipotents dans notre quotidien que sans eux nous nous sentons démunis et dépossédés de nous-mêmes. Le rêve nous plonge dans un tourbillon de sensations, de stimuli et d’émotions non récupérés par le mental et l’égo. Au cours du rêve, c’est une part plus profonde de nous qui est aux commandes. L’ayant tellement occultée, cela nous donne l’impression de ne pas avoir de prise sur la situation vécue en rêve. Si la notion de rêve lucide réfère à la prise de conscience d’être plongé dans un rêve, le degré de lucidité afférent dépend de notre capacité à réintégrer un système de contrôle basé dorénavant sur l’Âme.
Où se place le rêve lucide
La phase du sommeil lent profond est celle où l’activité biologique du corps est réduite au minimum. Notre organisme emploie cette phase de sommeil pour se reposer et récupérer de ses activités diurnes. Notre activité cérébrale se caractérise par des ondes lentes et amples. C’est le moment où nous sommes le plus inaccessible au plan physique. Si la phase de sommeil profond est le siège de rêves, ils sont parmi ceux les plus difficiles à se remémorer au réveil.
En sommeil profond, notre conscience plonge au plus profond d’elle-même pour déployer un univers qu’elle co-crée.
La phase du sommeil paradoxal, terminant le cycle normal de l’endormissement, est celle où s’alterne des signes de sommeil très profond et des signes d’activité électrique corticale intense. Les ondes cérébrales sont rapides. Notre corps traduit par son agitation (spasmes physiques, activité cardiaque marquée) et ses expressions faciales (rictus, mouvements oculaires rapides) une étroite corrélation entre le vécu en état modifié de conscience et le plan physique. Le corps physique est le prolongement de l’expérience du rêve. Cela peut aller jusqu’à la parasomnie, et ses manifestations les plus connues comme le somnambulisme ou les terreurs nocturnes des enfants.
En sommeil paradoxal, notre conscience se projette à l’extérieur pour explorer un univers qu’elle n’a pas créé.
À ces deux profils de rêves s’opposent deux réalités distinctes pour notre conscience. Si le tonus musculaire est maintenu lors de la phase de sommeil profond, c’est que la conscience garde ses corps subtils denses au plus près du corps physique. Elle reste maîtresse de sa réalité.
Mais lors du sommeil paradoxal, le tonus musculaire est aboli. Une forme de paralysie se met parfois en place. Cela traduit le détachement de l’un des corps subtils denses du corps physique. La conscience maintient l’intégrité du corps physique tout en étant ailleurs grâce à un véhicule éthérique. Ce découplage se nomme conventionnellement projection astrale, par le corps éthérique ou par le corps astral.
L’exploration des rêves en phase de sommeil profond nous renvoie à notre divinité ou êtreté selon. L’écarter ici permet d’ouvrir en grand la face cachée des rêves en phase de sommeil paradoxal. Le rêve lucide peut alors être pleinement exploité.
Que faire pendant un rêve lucide
Une fois endormi, la sortie hors du corps par le corps astral est le fondement d’un vécu que l’on identifie sous l’expression de rêve lucide.
Lorsque l’on parle de rêve conscient, le dormeur réalise plus ou moins pleinement qu’il est en train d’effectuer un voyage extracorporel. Sortir de son corps est à peine perceptible.
La grande majorité des rêves en sommeil paradoxal est comparable à un voyage de courte distance vers une bulle onirique individuelle. C’est un univers temporaire ultra localisé. Cette bulle se met en place dans l’astral de notre planète, nous y pénétrons, puis elle disparaît au réveil. Le souvenir se réduit à la portion vécue la plus intense sans se remémorer l’avant, l’après, ni le pourquoi du comment.
La lucidité dans un rêve s’accroit lorsqu’on a une influence sur le déroulement du vécu sous cet état modifié de conscience. La compréhension du monde astral permet de savoir comment maîtriser le rêve lucide. S’il constitue un outil pour explorer son propre inconscient, le rêve lucide permet d’aller au-delà.
Lorsque mes pensées se tournent vers une personne de manière redondante, je sens parfois l’appel intérieur à recourir à la technique du rêve lucide.
Le rêve lucide est aussi un moyen pour rejoindre l’inconscient d’une autre personne.
Je peux ainsi m’adresser à elle en contournant sa personnalité de tous les jours avec son égo et ses conditionnements. Le moment le plus propice pour moi est lorsque cette personne est possiblement encore endormie. Je ne sors pas de mon corps par le désir du mental mais quand quelque chose au fond de moi, plus grand que mon petit moi, m’y invite.
Ce matin-là, le détachement de mon corps est si rapide que je le perçois à peine. Je suis presque instantanément plongé dans une scène de rêve. Je suis dans un bâtiment, passant d’étage en étage. Je me sens attiré vers une pièce en particulier. Des convives sont attablés. Les personnages de la scène ont ce manque de consistance propre aux faire-valoir d’un rêve. Je sais que le scénario qui se déroule n’est pas issu de ma propre bulle. Je suis entré dans le rêve de la personne que je recherche. Aucun des personnages de la scène n’interagit réellement avec moi, je ne ressens pas d’émotions particulières liées à ce qui se passe ou se dit. Ce sont deux critères pour savoir si on est dans son propre rêve ou celui d’un autre. Par contre, en me plaçant au plus près de la table, je vois une personne se lever et tenter de se dissimuler à mon regard. Elle est différente de tous les autres personnages. Elle émet une vibration, je ressens ses émotions, je perçois ce qu’elle expérimente ici. C’est l’instigatrice de ce rêve. Elle m’y apparaît semblable à son apparence dans la vie éveillée.
Ma présence la perturbe beaucoup. Une part d’elle m’a attiré à elle mais une autre part fuit.
Le rêve lucide révèle l’état de l’enfant intérieur, le sien tout autant que celui d’autrui.
Lorsque la personne sort de la pièce, tout s’agite autour de moi. Le décor semble se désagréger. Certains figurants de la scène se tournent vers moi avec un regard désapprobateur. Certains se révèlent être des consciences autonomes usurpant des apparences tirées de la psyché de la rêveuse. Tant que la personne en rêve ne déviait pas du scénario du rêve, tout se passait bien. Ce n’est plus le cas. Elle est en train de se réveiller et sa bulle se referme.
Je dois partir précipitamment. Aucune peur ne m’habite. Celle-ci est le propre de l’égo, qui lui se niche dans notre corps éthérique, le corps subtil le plus proche de notre corps physique. Pour reprendre un terme militaire,
L’égo est un système factice de contre-mesure face à la souffrance réelle de notre enfant intérieur.
Dépouillé du mental-égo, le véhicule astral permet de réagir astucieusement par la voix de son Âme. Elle nous met librement en action dans un rêve lucide. Nous ne nous sentons jamais démuni dans une situation instable.
Ce n’est pas mon premier retour express dans mon corps. J’ai expérimenté les méthodes extrêmes. Courir pour sauter d’un pont qui se matérialise. À la hussarde en me défenestrant d’un haut bâtiment. En trouvant un puits sans fond dans lequel plonger. L’idée reste toujours de descendre rapidement du monde astral pour rejoindre le monde physique. La descente est à chaque fois une sensation réelle de chute vertigineuse comme happé par la gravité terrestre. Qui ne s’est jamais réveillé en sursaut, le cœur battant à cause d’un rêve se terminant par une sensation de chute libre…
J’ai appris à rentrer promptement mais plus ingénieusement. Détestant avoir le vertige, il le fallait. Cela ne se décrète pas par le mental, absent du voyage astral. Cela doit venir de son Soi intérieur, notre Âme. C’est elle qui doit intégrer de nouvelles solutions de sortie. La répétition est mère de tout apprentissage.
Cette fois-ci, je me suis représenté un pôle semblable à ceux que l’on retrouve dans une caserne de pompier. Il s’est matérialisé sur une simple intention. Je l’agrippe et je me laisse glisser. Je traverse les étages inférieurs du bâtiment. Les décors sont de plus en plus chaotiques et fragmentés. J’arrive dans un étage effrité où le sol a disparu. C’est le noir complet en-dessous. Mon pôle cesse soudainement d’exister, je n’ai plus rien pour m’agripper. Cet espace noir et vide qui m’avale ne dure qu’un instant. Je suis d’un coup au plafond de ma chambre et je tombe à la renverse. C’est très court, juste assez pour vivre quand même cette fichue sensation de chute que je déteste. Aucun choc. Je suis comme amorti en douceur. Puis je glisse avec lenteur dans mon corps.
Un rêve lucide dangereux
Cette autre nuit, je retrouve une présence féminine familière. Nous ne nous connaissons pas dans le monde physique mais nous voyageons régulièrement ensemble dans le monde astral lors de notre sommeil. C’est une reconnaissance vibratoire qui nous lie.
Nous décidons d’explorer un lieu dans l’astral. Je sais y être déjà allé mais ma mémoire n’en a pas gardé le souvenir conscient. Nous nous retrouvons dans une prairie ensoleillée. Tout est paisible et verdoyant. Nous nous dirigeons vers une charmante maison isolée où s’affairent de nombreuses présences. Je parle de présences car dans les premiers temps de ce voyage astral, je ne les vois pas prendre une forme dense. Je sais que ces entités en ont la capacité polymorphique. Elles restent simplement des présences indicibles. Elles nous accueillent avec enthousiasme.
L’une des présences dit à ma compagne de voyage astral que rare sont ceux qui s’aventurent jusque-là. Habituellement, ce sont elles qui vont à la rencontre des humains dans leur sommeil. Elles nous expliquent jouer à reproduire ici une scène de vie humaine. Elles ont collecté des formes-pensées que nous avons créées. Ces formes-pensées sont la manifestation dans l’astral des objets que nous concevons dans la vie quotidienne du monde physique. Ce sont ici leur contre-partie éthérique. Ces présences évanescentes s’amusent à les manipuler. Avec une attitude presque enfantine, elles s’imaginent imiter notre usage de ces objets. Je me rends compte qu’elles sont parfois loin d’en comprendre leur fonction première. La scène prend un aspect ubuesque. Je les vois s’amuser à préparer une plate bande fleurie avec des ustensiles de cuisine. Elles me pressent de toute part pour que je leur montre comment utiliser tel ou tel outil ou que je leur révèle la raison d’être d’un objet.
Alors que je me laisse prendre à leur enthousiasme à explorer l’usage de nos objets du quotidien, je ressens l’agitation de mon amie. Elle me dit que nous ne devrions pas être là, que ses guides l’avaient mise en garde. Je me souviens clairement de son avertissement cette nuit-là.
Dix minutes passées sur ce monde donne un temps écoulé de 4 heures dans le monde physique à la surface de la Terre.
Les présences me charment pour que je reste auprès d’elles. L’inquiétude palpable de mon amie me décide à annoncer mon départ. À l’insistance de plus en plus marquée de ces entités se succèdent des pointes d’injonction. Elles commencent à se densifier en des formes humanoïdes pour m’entourer et me retenir. Dès que nous nous mettons à fuir, leur apparence se mute en des faciès quasi démoniaques. Elles ne nous donnent pas immédiatement la chasse.
Ne pouvant repasser par là où nous sommes arrivés, je connais instinctivement une porte de sortie. En nous éloignant de cette maison faussement idyllique, nous parvenons rapidement au bord de ce monde miniature. Un précipice sans fond le délimite. Une arche de pierre étroite l’enjambe pour rejoindre l’autre bord de la crevasse. Un enchevêtrement de broussailles encombre cet horizon étroit. Une masure décrépie en émerge péniblement.
Ma compagne de voyage doute de cette issue. J’insiste en lui disant que ce n’est qu’une projection holographique d’une porte de sortie de ce monde astral. Elle est volontairement peu avenante.
Une fois au bord de l’arche de pierre, les présences tentent finalement de nous y rejoindre. Alors que mon amie s’engage doucement sur l’arche, je m’entends la mettre en garde. Je lui dis que la traversée n’est pas sans risque, qu’elle doit courir le plus vite possible sans se laisser impressionner par ce qui va apparaître.
Alors que nous nous apprêtions à nous engager sur le parapet, de jolies plantes éclosent et fleurissent sur l’étroit passage. Les présences me susurrent le message que ce serait dommage de les piétiner pour franchir le pont. Je sens au fond de moi qu’il faut que nous traversions. En posant précautionneusement un pied, toutes les fleurs sur le tablier du pont se fanent subitement. Nous nous mettons à courir le plus vite possible. De nouvelles plantes poussent. Cette fois-ci, elles ont l’aspect de longues et étroites feuilles acérées. Elles sont d’un vert translucide. Plus je cours, plus elles obstruent le passage. Elles sont réellement blessantes. Je ressens vraiment une douleur, pas une illusion de douleur. Elles blessent mon corps énergétique. J’enjoins mon amie à ne pas ralentir, je la pousse devant moi alors qu’elle veut rebrousser chemin. Une fois le pont franchi, on se tient la main et je touche la poignée de porte de la fermette en ruine.
Je me sens de nouveau léger. Je vole et redescends vers la surface de la Terre. Nous nous retrouvons au-dessus d’une rue du centre-ville de Montréal. Au-dessus de moi, il y a un point de passage vers certains sous-plans de l’astral. Nous sommes nombreux à en revenir.
Je me retrouve à survoler cette rue que je reconnais. Le jour n’est pas encore levé. Je vois quelques badauds s’affairer de-ci de-là. Un mur invisible nous bloque l’accès à notre monde. Je réalise avoir gardé en main l’une de ces contre-parties éthériques prise dans l’astral. C’est cet objet issu de ce monde astral qui m’empêche de franchir ce mur. Dès que je m’en déleste, je peux franchir cette barrière énergétique. Je retrouve les sensations propres à une projection astrale classique dans notre dimension. Mais deux des entités nous ont suivi.
Mon amie me dit qu’elle retourne réintégrer son corps non loin de là. En pensant au mien, je suis immédiatement à Québec flottant au-dessus de mon lit. Je retourne alors dans mon corps physique tout en douceur. Je prends une position allongée identique à celle de mon corps dans le lit, et je descends doucement. C’est très agréable.
Une fois la fusion faite, je prends le temps d’aligner mon véhicule astral avant la reconnexion complète. C’est comme être dans son corps de matière sans ressentir la surface de celui-ci, l’épiderme. Je me branche en tout point de manière simultanée. Je retrouve la pesanteur physique mais je me sens vraiment bien dans mon corps. Plutôt que d’ouvrir les yeux, je prends le temps de remercier mon corps physique pour être mon véhicule dans mon incarnation. Puis, même étant sorti de ce rêve lucide, la douleur ressentie lors de la traversée du pont se rappelle à moi.
Un bruit sur ma table de chevet attire mon attention. Il est semblable à quelqu’un qui donne de rapides coups avec son poings fermé. L’entité souhaite me faire savoir qu’elle m’a suivi jusque chez moi. Cependant, je sens qu’elle repart très rapidement.
Le rêve lucide contre la chambre d’écho
Chaque rêve lucide nous dévoile un peu plus la mécanique de l’astral. Toute sortie astrale en rêve est interprétée selon les référentiels du rêveur.
La perception que l’on tire de ses rêves lucides crée une polarisation de sa conscience.
La majorité des personnes réduit le rêve à un exutoire psychophysiologique. Leurs rêves ne sont pour eux que des répétitions inconscientes de vécus intériorisés ou des réalisations toujours inconscientes de désirs agressifs, parfois d’ordre sexuel. Ces personnes ne conçoivent le rêve que comme une expérience solitaire et séparée des autres. Cela maintient une fragmentation du principe que tout est interrelié.
À leurs yeux, tous ceux qui envisagent une compréhension du monde des rêves différente de la leur, sembleront agir de façon totalement incompréhensible. Nous faisons partie d’une bulle d’information différente. Il est probable que nous ne puissions pas nous comprendre les uns les autres, au risque même d’être perçu comme le mal à l’état pur.
Le monde en phase d’éveil se définit par le monde en phase de sommeil. Les deux se renforcent et se confortent. Nos rêves sont imprégnés des images vues en phase consciente. Nos actions quotidiennes traduisent notre perception inconsciente de la réalité. Le monde en phase d’éveil est perturbé par ce que nous faisons et acceptons en rêve.
Les actions au quotidien des personnes prennent un sens nouveau en intégrant le paramètre des rêves. Nombreux sont ceux qui prennent leurs rêves, ces bulles holographiques, comme de curieux sous-produits de leur inconscient. Chacune de leurs nuits agit comme une chambre d’écho qui valide sans fin leur paradigme.
Nos nuits sont colonisées par des entités polymorphes qui adoptent des apparences personnalisées à chaque rêveur. Elles ont créé un monde taillé sur-mesure pour nos esprits non préparés. Elles se nourrissent des émotions relâchées en rêve. N’ayant plus l’égo pour les réfréner, c’est un mets de choix pour cette faune astrale.
Même si les rêves sont une expression de la matrice enfermant les consciences humaines incarnées, ils sont aussi visités par nos guides bienveillants. Ils utilisent cet état de conscience modifié pour nous rejoindre afin de nous aider, nous guérir et nous enseigner. Ils peuvent apparaître sous leur véritable forme ou choisir une forme qui crée un lien affectif facilitant le travail.
Si des guides amicaux prennent appui sur les rêves pour nous accompagner, des entités prédatrices peuvent tout autant s’y infiltrer. C’est ainsi qu’il faut comprendre la relation symbiotique entre ces entités polymorphes, les archontes, et d’autres espèces prédatrices profitant de la duperie de la conscience humaine.
Le rêve lucide contre les maîtres des rêves
Ainsi chaque nuit, nous jouons au jeu proposé par ces entités passées maîtres dans l’illusion. Nous offrons de notre temps et de notre énergie à explorer une matrice astrale factice.
Le terme d’archonte fut emprunté à son sens premier. Il désignait les véritables maîtres de l’antique cité d’Athènes. En leurs mains étaient rassemblés un pouvoir immense sur la vie des citoyens. Au nombre de 9, les archontes formaient un grand conseil, après avoir été tirés au sort parmi des volontaires issus de la classe athénienne la plus riche. Ainsi naquit le concept de démocratie athénienne, par l’adjonction du dêmos et du kratos (le pouvoir).
Le sens premier de daiomai est celui de « séparé de ». Ce terme donnera le dêmos, le peuple qui a le droit de vote, séparé du laos, le peuple dans son entier. Ce terme donnera aussi les daimon, les démons, séparés de l’Un en rejetant Dieu.
Après avoir été longuement corrompue et affaiblie, la dernière des véritables royautés de droit divin fut achevée en France en 1789. Cette chute marqua la transposition de la matrice nocturne en une matrice diurne. Le système d’enfermement et de Séparation à la Source divine fut parachevé.
La génétique du rêve lucide
Le véritable monde physique, tel qu’il aurait dû toujours être, est programmé dans notre ADN.
La pureté de la Terre originelle est encodée en chacun.
Le respect de toute vie, l’abondance, la joie, le libre-arbitre au profit d’une plus grande gloire du divin, tout cela est en nous. C’est l’aspect inaltérable de notre être. Il fut cependant désactivé et entrecoupé d’ajouts génétiques ultérieurs. Si certains de ces ajouts permirent de développer de nouvelles parts multidimensionnelles pour résoudre des conflits stellaires immémoriaux, d’autres ne sont là que pour assurer un écho aliénant entre le monde des rêves manipulés et le monde conçu en phase d’éveil.
En génétique, le phénotype est l’ensemble des traits observables d’une personne. Le phénotype dépend habituellement de la moyenne exprimée de multiples gênes. Pour l’expression d’un gène, l’un des deux allèles s’exprime et l’autre reste muet. On dit que le premier est dominant et l’autre récessif.
Lorsque le phénotype s’avère mauvais pour la survie de l’individu dans un monde en mutation, est éliminé impitoyablement l’encodage génétique qui en est la source.
La hausse du taux vibratoire personnel, de concert avec l’élévation de celui de la planète, entraine la réactivation de notre génétique Lumière. Celle-ci détecte alors les modèles obsolètes encodés dans l’ADN. Elle s’attaque à notre génétique qui encode notre état de Séparation. Elle désactive et élimine ces allèles dominants qui définissent l’ancien écosystème de nos rêves inconscients pour celui des rêves lucides.
La mise en place de tout modèle, ici celui de la Séparation à la Source, fut un long et patient processus. De multiples ajustements et ajouts furent nécessaires à la croissance de ce modèle d’asservissement de l’humanité. L’énergie négative déployée s’accrut exponentiellement, emmagasinant un fort potentiel entropique. Connu sous le terme d’effet Sénèque, les modèles arrivés à maturité s’effondrent dans un retentissement magistral. La correction des déséquilibres se manifeste dans un laps de temps court.
En transformant notre paradigme et notre perception du monde dans nos phases d’éveil, nous fissurons les bulles virtuelles où les archontes nous plongent au travers de nos rêves. Ceux-ci retrouvent leur réel épithète, celui de lucide. Un véritable rêve lucide est lorsque nous brisons leurs règles, lorsque nous retirons leurs masques empruntés à nos proches en rêve, lorsque nous entrons et sortons à notre guise de leur monde. Ils ne définissent plus notre psyché et au réveil nous les désemparons par notre éveil de conscience.
Le rêve lucide permet de comprendre qu’il n’y a pas de lutte à engager contre les archontes, maîtres artisans de la matrice. Une lutte sous-tend l’idée de départager ce qui est égaux. L’humain est bien au-dessus d’eux. Retrouver la lucidité efface leur emprise sur nous. Leur agressivité ne renvoie que leur impossibilité à nous contrôler dès que nous comprenons le fonctionnement de la matrice. C’est en connaissant ses lois que l’on peut les enfreindre.
Il faut voir la vérité pour exploiter toutes les failles de l’asservissement.
La lucidité commence en perçant la nature des mensonges de la matrice.
Pour une lecture paisible, vous avez la possibilité d’imprimer l’article :
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Simon :
Bonjour Paul, moi aussi c’est pareil, j’ai comme une sensation d’adrénaline et oui une vague d’énergie quand je veux faire une projection astrale ! J’ai commencé seulement hier soir mais dès la première fois ça me fait ça. Je suis nouveau dans le domaine, j’ai appris que ça existait grâce à une vidéo sur Youtube.
Allo Samuel! Ça fait un bail, tu ne trouves pas? 😀 Si tu lis ceci, j’aimerais que tu me le fasses savoir par courriel. J’ai plein de choses a te raconter! Quand je suis revenu sur le site, j’ai fait: wow! Ça a vraiment changé en seulement 5 mois! Tu as dû faire du chemin! Et moi aussi! Ton travail est exceptionnel et j’ai hâte de lire tous ces nouveaux articles
Article très intéressant. Je viens de découvrir ce site j’adore, vu que je suis passionné depuis quelques mois sur le sujet des rêves lucides et des voyages astraux. Je n’ai pas réussi à faire de voyage astral encore mais les conseils que j’ai pu lire sur ce site et les différents articles sur ces thèmes me sont d’une aide précieuse, site très bien fait.
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Samuel :
Faire un voyage astral volontairement, cela s’apprend et cela se travaille. Je suis encore loin de le maîtriser à volonté. Plusieurs tentatives me sont nécessaires car tout dépend de mon degré de fatigue physique, de l’agitation de mon mental etc… beaucoup de paramètres influences la capacité de relâchement nécessaire. Mais tous nous faisons des voyages astraux pendant notre sommeil. Commencer par à reprendre le contrôle consciemment de ces sorties hors du corps est un excellent exercice pour ensuite pratiquer le voyage astral en phase d’éveil. Cela demande de la patience, de l’entraînement et surtout ne pas baisser les bras avec seulement quelques tentatives…
Samuel, c’est le temps que je laisse tomber mon masque… Pour être franc, j’ai menti sur toute la ligne, à part le ‘‘rêve de la forêt’’ et les commentaires (ton site est très bien fait, en passant), tout n’est que mensonge et jalousie… Et pour être franc avec toi, je ne pense pas être un dragonnier, car un dragonnier ne ment pas (ou presque), ne trahi pas ses pairs (en supposant que tout le monde qui écrit soit un dragonnier) et respecte le monde autour de lui. Par contre, je suis prêt à recommencer à zéro avec toi, si tu le souhaites. Je pense être un très bon élève, car j’écoute et je me concentre sur une chose à la fois. N’efface pas ce message une fois lu, car j’estime que tous les dragonniers présents devraient le savoir. Pour ceux qui ont menti, comme moi, vous devriez vous dévoiler, car le monde des Dragons est si… fabuleux et plein de possibilités pour vous… Bon sang, mes mains tremblent si forts que j’en ai du mal à écrire…
En même temps, un poids sur mes épaules se libère et je suis heureux de pouvoir enfin dire la vérité. Comme tu l’as si bien écrit dans l’un de tes articles, les Dragons n’aiment pas qu’on leur mente et je sais que je t’ai (vous ai) déçus
Ta confiance en moi en a pris un coup
Alexandre B, Dragonnier débutant
P.S. : Je tiens que tous réagissent à ce message, sans exceptions, tout le monde qui le peuvent…
Merci ! 🙂
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Alexandre :
bon allez, c’est le temps de se réveiller et de répondre, je vous mentirais si je vous disais que je suis prêt à toute réponse… Mais, bon, la vérité c’est que je me sens coupable, très coupable
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Fontaine :
Merci Alexandre pour ta franchise mais sans vouloir vexer dragonnier comme dragon, désolé d’avance, quand on en voit par exemple deux dans les nuages et que l’on est au-dessus d’eux. De plus, j’ai le vertige ou je ne me sens pas digne de leur parler.
Bonsoir Samuel, j’ai fait des rêves de Dragons et je me vois me cacher dès que je les vois 🙁 J’ai même crié devant un Dragon qui ressemblait à Eliott dans le film du même nom. Je me suis excusé devant le pauvre Dragon.
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Samuel :
Bonjour,
Une peur viscérale a été patiemment encodée en nous afin de nous éloigner des dragons. Ton rêve n’a fait que mettre à jour cette crainte inconsciente. J’avais exactement la même défiance lorsqu’un dragon s’est pour la première fois présenté à moi. Les dragons ne s’émeuvent pas de ces réactions, avec patience et astuce, ils vont continuer à venir vers toi. Le simple fait de rêver des dragons traduit un appel profond de ton Toi intérieur vers eux. La peur appartient à l’égo et non pas ce que tu es en réalité. Cela, les dragons le savent pertinemment. Ne t’inquiète pas.-
fontaine :
Merci Samuel, ça me touche énormément mais pour le Dragon vert qui ressemblait à Eliott, je l’ai vu dans ma chambre avec mes Yeux physiques avant de dormir. Désolé, j’aurai du préciser. Et j’ai vu une fois un homme qui ressemblait à un acteur (Robert Carlyle) mais je savais que ce n’était pas lui. À chaque fois que je le vois ou ressens sa présence, j’ai mon intuition qui me dit qu’il était rumplestiskin dans Once up a time. J’ai surtout sursauté quand je l’ai vu.
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Samuel :
Les voir en vision intérieure est une chose mais les percevoir dans son environnement avec ses yeux physiques amènent toute une prise de conscience, une preuve ultime de leur existence dans une dimension imbriquée dans le monde physique. C’est tout un cadeau^^
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Fontaine :
Mais pourquoi un personnage de série viendrait me voir. De plus je sais pas s’il parle français :/
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Samuel :
Ceci est ton vécu, ton expérience, je n’ai pas de réponse pour toi. Des entités de l’astral peuvent puiser dans notre registre personnel une apparence pour l’usurper et plus facilement nous approcher.
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Fontaine :
Salut, mon ange gardien me dit toujours oui en souriant quand je lui demande si Rumpelstiskin existe. Je lui dis tu te fous de moi mais dit non. Tu comprends quelque chose Samuel 🙁
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Samuel :
Je ne connaissais pas le personnage de Rumpelstiskin. Beaucoup de contes ont une base de vérité, peut-être qu’il faut le prendre dans ce sens-là.
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Alexandre :
Pour répondre à ton commentaire, Samuel, je ne crois pas qu’une peur « viscérale » ait été encodée en moi, car je n’ai pas peur des dragons, au contraire, je les respecte… Et Fontaine, sans vouloir te juger (ce n’est vraiment pas mon intention) te cacher d’un dragon quand tu en rencontres un n’est pas signe de respect, car je crois que les esprits dragons te l’ont envoyé pour te tester… Ça leur donne une mauvaise image de toi, mais, conseil de dragonnier, remplace ce sentiment de peur par un sentiment d’assurance, montre-leur que le résultat de ce test (si s’en était un) était purement involontaire…
Maintenant que j’ai lu la majorité des articles sur les dragons, je comprends mieux leur attitude, donc je pourrais t’être utile… Et à tout le monde aussi… Peu importe la situation avec votre dragon.
Ouf! Est-ce que je viens d’écrire tout ça, moi?
Peu importe, je me considère comme un « helper », donc je peux être aussi utile que Samuel (sans vouloir t’offenser, Samuel).-
Samuel :
La dynamique qui régit le lien entre une personne et un dragon est propre à chacun. C’est à chacun d’apprivoiser ce lien. C’est si intime et si profond qu’il me tient à cœur de ne porter aucun jugement ni aucune interférence dans l’expérience de l’autre. Je ne conseillerai pas à quelqu’un de faire ceci ou cela. Je montre quel est mon vécu et comment j’apprivoise mes propres liens avec les dragons. Chacun peut y puiser quelque chose pour se l’approprier ou simplement explorer différemment leur propre lien.
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Fontaine :
Bonjour Samuel, j’ai des questions pour Arzus (tu peux savoir s’il y a des esprits de la nature et ???? s’il te plaît et s’il n’y avait pas de problème autour de ma maison s’il te plaît ???? ) s’il y a un problème et que c’est trop tu peux me le dire Samuel.
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Samuel :
Esprits de la nature et esprits dragon peuvent nous accompagner au plus proche de notre lieu de vie. Si celui-ci est trop séparé de leur fréquence d’un point de vue vibratoire, ils ne resteront pas longtemps. Toutes les races élémentales ne sont pas à l’aise d’entrer dans nos villes. C’est à nous d’en sortir pour aller à leur rencontre. Arzus ne te donnera aucune confirmation. Il attend que tu chasses tes doutes intérieurs et que l’accueil se fasse avant tout en toi avant de te soucier s’ils peuvent ou non s’approcher de ta maison^^
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Sam (j’aime raccourcir les noms) est-ce que Arzus ou toi savez ce que ca veut dire GAD, ca m’est apparut dans un rêve…
Samuel,
Désolé d’être moins actif, mais j’ai eu un rêve encore plus bizarre. Mais j’ai la forte impression que c’est quelque chose qui s’est réellement passé… Je te raconte (les bouts entre guillemets sont des bouts un peu flous)
Je suis dans une cité en altitude, florissante de fleurs, « des bâtiments colorés ». J’entends des voix, pour me rendre compte que c’est moi qui parle, je suis un spectateur dans un corps(!).
-Toujours une aussi belle ville, même après une attaque, n’est-ce pas Kiliaen?
(Je suis sur un dragon)(!)
-Oui, une chance que les dragons étaient-là pour vous sauver de votre folie meurtrière…
-Argh… Je savais que tu dirais ça…
-Que veux-tu? C’est un moment clé de notre Histoire…
-Je sais, mais…
(Je n’ai pas eu le temps de continuer, qu’une autre voix m’interpellait)
(Par la pensée): Xael, la pause est presque terminée…
-D’accord j’arrive.
Kiliaen: J’ai une étrange impression… comme si on m’observait…
-Oui moi aussi
(Impulsion mentale)
Xael: Je l’ai trouvé, il se cache dans ma tête!
(Je me dis: Qu’est-ce que?)
Xael: Dégage de ma tête
Moi: Moi?
-Oui, toi
(Paniqué):-Je sais pas comment faire, mon cerveau ne veut pas partir!
(Retour à la réalité) La cloche a sonné, je continuerai plus tard, ce soir
Commence a le décoder, tu me diras tout après 😉
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Samuel :
Tu touches à l’histoire oubliée du pacte entre les hommes et les dragons. Je n’en ai pas parlé dans mes articles car je voudrai prendre le temps d’en retracer une vision élargie.
Lorsque tu te reconnectes à une mémoire d’une vie passée, c’est toujours déstabilisant du point de vue référentiel. On se revit « acteur » de la scène tout en s’observant prononcer tel mot, penser telle chose, ressentir telle émotion sans le contrôler. Mais revivre une scène passée n’est pas forcément figé. Le passé n’est pas immuable, surtout si tu entres en contact avec des êtres comme les dragons. En partageant cette mémoire avec un dragon, c’est comme un lien direct et actuel avec lui, dans le temps présent…-
Alexandre :
Je continue…
(Rêve)
Xael: Sors!
(Je sors de sa tête et me retrouve sur un dallage en hexagone)
Moi: Comment j’ai fait?!?
(C’est là le moment »dangereux »)
Moi:Qu’est-ce que?!
(devant moi, le dragon vert change de couleur pour devenir noir(c’est là que je me rend compte que c’était un piège… 🙁 )
Kiliaen: Toi!
Moi:Oui moi… Quoi?
-Je suis venu t’avertir…
-De quoi??
-Fais attention aux autres dragons noirs… Je reviendrai…
maintenant, réveille-toi!
(Réalité):Je me réveille
J’espère avoir + d’info cette nuit… -
Alexandre :
Le dragon gentil très noir est revenu
(suite)
-Moi: Tu t’appelles comment?
-Faeli: Faeli.
-D’accord, tu voulais me parler?
-Oui… je suis différent, on m’appelle: le dragon déchu… je ne suis pas gentil ni méchant, mais entre les deux.
-Et pourquoi tu m’aides?
-Tu es…
(Pas le temps de continuer)
BAM!!!
-Qu’est ce que!?
-NON, ILS SONT LÀ. VA T’EN OU TU N’EN SORTIRAS PAS VIVANT!
-Pourquoi?
-PRENDS ÇA!
(Il me tend une turquoise(Ma pierre de naissance(!)))
-Rapporte la et parles-en à Arzus(!?)
-Tu le connais?
-Non, mais lui il connait ça.
(Dès que je prend ma turquoise elle se met à briller et je me réveille)
-(Réalité)WTF?!? Ce rêve était bizarre…-
Samuel :
Je vais poser la question à Arzus dans les prochains jours. Cela m’intrigue grandement^^ Merci à toi
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Samuel, j’ai besoin d’aide… la nuit passée j’ai fait un rêve bizarre. J’étais dans une forêt, je voyais des ombres s’agiter autour des arbres. Plus tard, (c’est le bout que je veux tu portes une attention particulière) une créature (que j’identifie maintenant à un dragon à cause de mon cerveau qui a repassé ce rêve à maintes fois, de plus en plus clair) m’attaque et me pique au niveau de l’abdomen… Tout devient noir tout de suite après et une voix me dit, ni inhospitalière, ni hospitalière : « Te souviens-tu de ce que je t’ai dit, Xaël ? » Et là je sais pas pourquoi, je réponds : Oui. Et, PAF! je me réveille… Peux-tu m’aider???
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Samuel :
Bonjour Alexandre,
Les apparences dans un rêve peuvent être usurpées. S’il s’agit bien d’un esprit dragon qui s’est manifesté à toi en rêve, la scène vécue n’est pas inhabituelle. Les dragons reviennent auprès de ceux qui sont prêts à restaurer l’antique alliance avec les dragons. Les dragons font sauter les blocages énergétiques qui verrouillent nos capacités. Ils s’attaquent aux nœuds énergétiques qui nous oppressent. Le ventre est une zone où notre noirceur se cristallise. Ils agissent sur nos centres énergétiques pour les libérer. Les esprits dragons connaissent notre intérieur bien mieux que nous-même. Ils sont directs mais toujours justes dans leurs interventions. Petit à petit, tu découvriras qu’ils sont d’un amour infini même si au départ ils ne prennent pas de gants pour nous remettre en état énergétiquement parlant^^-
Alexandre :
Bon, j’ai fait un autre bizz (diminutif de bizarre), j’étais devant la maison de mon père, et on était… 3 ou 4, je me rappelle plus, mais ce que je me rappelle, c’est qu’il y avait un dragon rouge (pareil à celui de la photo de l’article « Intégrer l’énergie des dragons ») et il venait vers moi il essayait de me parler, mais, je-ne-sais-pourquoi, je n’entendais que dalle, pour moi c’est clair, qqch (quelque chose) ou qqun (quelqu’un) bloquait la communication.
Une chose est sûre, les dragons essaient de me faire passer un message… Mais que mon âme est aveugle, mon cœur est sourd et mon esprit impose une chaîne à mes sens… Je n’arrive toujours à croire que… (silence) que c’est (probablement) moi qui me restreint…
Le meilleur conseil S.V.P…
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Bonjour Samuel,
Pour ma part depuis petit, je n’ai que peu de rêves, et depuis mon ouverture à plus de conscience il y a quelques années, tout s’est arrêté ou presque.
Aurais-tu une explication du pourquoi on nous coupe, même des bribes. Sur une année, je dois me souvenir de bribes qui tiennent sur les doigts d’une main ou deux tout au plus.
Merci
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Samuel :
Bonjour Jérôme,
Je vis des périodes de grand détachement par rapport à mon quotidien et cela m’aide grandement à vivre consciemment mes rêves. À l’inverse, lorsque je m’attache à la réussite matérielle de tel ou tel projet du quotidien, je m’en souviens moins. C’est une constatation personnelle que je ne généraliserai pas. Je suis en train d’écrire mon prochain article, toujours sur les rêves, et je témoignerai qu’il m’avait fallu des réveils impromptus en pleine nuit pour prendre conscience des rêves profonds, autrement je n’en gardais pas souvenir au petit matin.
Merci Samuel pour tous ces partages et ces informations passionnantes ????
Merci Samuel pour cet article (et les autres!). J’aime cet espace, ce temps, où les rêves se réalisent.
La façon dont tu parles d’eux m’apporte de nouvelles notions.
Jusqu’à présent ils sont pour Moi une occasion de flirter avec un univers mystérieux, régulièrement énigmatique mais qui me permet de satisfaire une certaine soif de « magie » (bien qu’on puisse considérer la vie diurne/éveillée magique également…). Que ces rêves soient faciles à vivre ou non, il me plait de toujours rêver.
Souvent, je ne comprends pas leur(s) sens mais j’y ressens pourtant une profondeur dans ce qu’ils véhiculent.
Très peu de rêves lucides parmi mes expériences. Certains en revanche peuvent être révélateurs, annonciateurs, guérisseurs, « joueurs » en proposant un jeu de pistes… qui coïncident avec la vie éveillée.
Il y aurait tellement d’histoires à écrire avec les rêves!
Merci également à chacun pour vos commentaires. J’aime!
A te lire, à vous lire, c’est un peu comme, ponctuellement, nourrir une part de Moi.
Joyeuse continuation à chacun.
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Samuel :
Bonjour Aurélie,
Je prends de plus ne plus de temps au réveil de réfléchir à ce que je viens de vivre en rêve. Révélateurs, annonciateurs, guérisseurs sont des qualificatifs appropriés en effet. Justement le prochain article mettra la lumière que l’aspect guérisseur et révélateur.
Samuel, j’aime énormément tes enseignements. Très équilibrés, légers, fluides.
C’est très agréable et très très enrichissant! Merci pour ces magnifiques partages.
Avec joie et gratitude.
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Samuel :
Merci Félix 🙂 La science cartésienne a été au centre de mes premières études universitaires. Alors l’approche pluridisciplinaire de la parapsychologie me permet de faire des ponts entre les ouvertures de ma conscience et mon désir de comprendre et de percer certains mystères. À la fin, mes récits reflètent ma propre sensibilité et il appartient à chacun de prendre ou de rejeter tout ou partie.
Merci Samuel. Le domaine des rêves me passionne. Je fais de temps en temps des rêves lucides que j’apprends de mieux en mieux à maîtriser mais pour le moment je n’ai pas eu de mauvaises rencontres…
Hâte de lire ton prochain article ☺
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Samuel :
J’ai choisi de retranscrire deux expériences en particulier afin de traiter d’un aspect occulté du rêve lucide.
Mais tous mes rêves lucides ne sont pas aussi extrêmes. Il y a deux jours, je pensais fort à un ami d’Ottawa avec lequel je n’ai plus de contact depuis longtemps. La nuit suivante, je me suis retrouvé en rêve devant la porte de sa maison. Il m’a ouvert et m’a serré dans ses bras. Il me raconta ce qui avait changé dans sa vie. Au réveil, cela m’a conforté d’entreprendre une démarche pour reprendre contact avec lui. Le rêve lucide m’a permis de valider que tout se passera bien.
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Samuel :
Ce qui se passe pendant la phase de sommeil profond me fascine davantage que tout ce que je peux explorer en projection astrale pendant le sommeil paradoxal. Il faut juste que je trouve les mots pour décrire quelque chose qui dépasse notre réalité.
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Samuel :
Le prochain article sera sur les « rêves » dans la phase de sommeil profond. Les deux articles s’équilibreront ainsi l’un l’autre. Cette autre phase du sommeil est si essentielle au processus d’éveil de nos consciences.
Bonjour à tous,
Intéressant ce site et cette approche de l’astral et très belle plume !
Lors d’une tentative de sortie depuis l’état de veille j’ai ressenti des vagues d’énergies me traverser des pieds à la tête et des énormes « boum » dans ma poitrine à en croire que mon cœur allait exploser ce qui me fit me redresser pour interrompre. Auriez vous des conseils ou explications ?
Merci et bonne exploration !