Bien que nous ayons oscillé des gouvernances monarchiques à celles républicaines, l’individualisme demeure le maître mot. Il n’y a point de colonne vertébrale qui donne une direction afin de mener l’ensemble vers l’harmonie. Les dirigeants défendent le pré carré de leurs privilèges octroyés. Les instincts les plus vils côtoient les plus nobles aspirations. Mais ils exploitent tous la naïveté populaire. Leurs administrés, par une grande immaturité, rêvent à de meilleurs lendemains sans avoir besoin de se remettre en cause. Il ne peut en résulter qu’un inéluctable effondrement. Effondrement des valeurs, effondrement du système, effondrement de la morale. Un gouvernement servi par l’individualisme des personnes qui le composent, est par nature chaotique. Le chaos n’engendre que violence physique et verbale, exploitation de l’autre, appauvrissement du bien commun, corruption, dépravation morale et spirituelle.
Que le système soit monarchique ou républicain, qu’il soit religieux ou laïque, une minorité recourt à tous les stratagèmes de l’individualisme pour maintenir sa position dominante. À l’autre bout du spectre, la majorité se complait dans son rôle de nourricière de l’élite. De belles promesses ou le spectre du danger suffisent à illusionner les foules. Cette foule se montre d’autant plus cynique envers sa caste dirigeante qu’elle se refuse à accepter l’alternative.
À l’individualisme ne s’oppose que l’abaissement de notre égo.
Mais cela demanderait à la majorité soumise d’être confrontée au miroir de sa propre image. Une image de soi aussi chargée d’individualisme que cette élite honnie.
Abreuvés d’illusions, la vérité nous est déplaisante et inconfortable.
Ces élites savent faire émerger du peuple les attentes qui habillent leur naïveté. Ils prennent des mesures qui permettent à la corruption des cœurs et des esprits de s’institutionnaliser dans la société.
Trois choix s’offrent à chacun.
La FUITE. Le drame contemporain est d’amener chacun à se retrouver SEUL. Enorgueilli de son libre-arbitre et de sa liberté de parole, chacun se laisse pourtant bercer par les évènements. Son propre plaisir est vénéré. Les flatteries confortent les conceptions erronées de l’existence. Le cœur s’est asséché ne sachant plus ni pleurer ni ressentir. La solitude et le désespoir deviennent un fardeau. Et lorsque celui-ci est trop lourd, le corps enclenche un processus de maladie. L’esprit crie de mettre fin à tout cela, de fuir, d’emprunter parfois la voie expresse du suicide.
La QUÊTE. L’autodestruction du système amène aussi un sursaut, une prise de conscience. La déception s’est transformée en méfiance, puis en dégoût. La purification intérieure et le travail sur ses défauts s’enclenchent lentement. Se libérant peu à peu des modèles, chacun appelle la Justice, la Vérité et un Chemin de vie détachés des contingences du monde. Chacun se met en quête de la part divine de lui-même, rétablissant intérieurement son COUPLE, le temporel et le spirituel.
La CHUTE. Le modèle actuel cherche à rendre chacun amoureux de lui-même. Chacun se substitue au divin. Chacun n’attribue ses succès qu’à lui-même. Chacun voit en l’autre le responsable de ses échecs. Chacun tente de se rendre maître de sa TRIPLE nature : corps, âme et esprit. Réprouvant les forces invisibles qu’il ne comprend pas, chacun tente d’acquérir la maîtrise et le contrôle. Bercé de cette illusion, la Chute s’accélère.
Celui qui se penche sur les trajectoires passées des civilisations humaines, trouvera des parallèles singuliers. À chaque fois que les élites s’enorgueillissaient et s’apprêtaient à triompher aux dépens de l’ordre divin et naturel, un Roi dormant s’est réveillé. La Source de toute chose, Dieu, a toujours attendu que chacun prenne clairement position. Soit se laisser happer par l’individualisme, par amour de soi-même. Soit se libérer de l’aveuglement en se mettant en Dieu et en retrouvant sa capacité à aimer le divin chez l’autre.
Il est temps de réintroduire, en ce 21 janvier 2017, le Roi caché, que l’on associe parfois au mythe du Grand Monarque. Ce mystère s’inscrit dans le choix de la Chute…
Les rois mérovingiens
La lignée mérovingienne fut initiée autour de Mérovée et de sa génétique particulière. Selon la chronique de Frédégaire, la mère de celui-ci, pourtant épouse de Clodion, se serait unie à un être marin issu des eaux salées. Deux génétiques fusionnèrent portant chacune des signatures stellaires majeures. Nous avons oublié que la vie terrestre fut façonnée par des instructeurs et des généticiens des étoiles.
De cet accouplement, fut engendré une autre lignée de Princes Serpents, semblables aux Nâgas dans les légendes de l’Inde. Ces Princes Serpents seraient les détenteurs des secrets de la Connaissance et les dépositaires de certaines lignées génétiques. Les Nâgas peuvent prendre l’apparence humaine ou demeurer sous une forme de serpents marin.
Ainsi, le premier emblème des Mérovingiens fut le crapaud. Cet animal amphibien symbolisait autant l’origine de leur lignage que l’attribut de la métamorphose. Le crapaud est aussi celui en mesure de passer aisément du monde invisible au monde visible et inversement. Petit-fils de Mérovée, Clovis devint le creuset de génétiques reptiliennes, mammifères et aquatiques par une concentration de gènes majeurs.
L’ADN est un cristal. Il n’est pas que matière. Il est aussi fractal et multidimensionnel. Aux deux brins physiques s’ajoutent au moins dix brins éthériques que la science moderne s’évertue à ignorer.
Cette descendance de Mérovée rassemblait des polarités antagonistes, celles des conflits qui opposent les peuples stellaires de nos origines. Les consciences humaines en incarnation sur Terre trouvent, pour beaucoup, leurs sources parmi tous ces peuples stellaires.
Ce qui oppose et divise l’homme n’est que la transposition de ces conflits immémoriaux.
L’école laïque et les enseignements religieux ont sciemment effacé de précieux savoirs. Le sens réel du mot « Christ » est l’une de ces pertes tragiques.
Celui qui accomplit son processus d’unification de ses contraires, celui qui réconcilie en lui les antagonismes encryptés dans sa génétique pluristellaire, atteint un état christique. Il est alors prêt à être oint. C’est ainsi que Saint-Rémi réalisa l’onction de Clovis.
L’onction est l’activation par l’Esprit Saint d’un potentiel génétique.
Cette Lumière, issue du monde divin, descend dans le monde physique afin de recouvrir celui qui s’est unifié. Pouvant être perçu comme la descente d’une colombe de lumière, elle est aussi appelée le Manteau d’Or. Sitôt oint, Clovis devint oint de Dieu, il devint Christ. L’Esprit de Dieu l’habitait afin de le guider pour l’établissement d’un règne conforme à la volonté divine. Son baptême et son onction pinéale offrirent l’activation de sa génétique extraordinaire. Une véritable lignée royale de droit divin naquit.
Les Mérovingiens revendiquaient autant leur origine aquatique que reptilienne. Ils pratiquaient des incisions au sommet du crâne pour reproduire un trou pariétal propre aux reptiles et amphibiens. Cette perforation devait leur permettre de recevoir la Lumière, celle du divin, contenant une information subtile qui ne peut passer par la vue.
Afin qu’un roi, issu d’une lignée Serpent, puisse accomplir le grand œuvre de rédemption de sa génétique reptilienne, il fallait l’ajout d’une lignée christique révélée. Une nouvelle concentration génétique survint lorsque Clovis s’unit à Clotilde, princesse burgonde. Bien que catholique, Clotilde portait en elle un autre héritage génétique majeur, une ascendance juive davidique, celle de Jésus/Yeshua et de Marie-Madeleine. De leur descendance, devait s’enclencher le processus de rédemption par la vibration de l’amour christique enlaçant les 12 principaux brins d’ADNs, les 12 tribus d’Israël réunies. Un ange serait apparu à Clovis afin qu’il change son blason aux trois crapauds pour trois fleurs de Lys. Cette fleur symbolise cette union génétique, cette union des contraires, cette union des forces pulsionnelles et prédatrices par la rédemption divine.
Cette concentration génétique est Puissance. La tentation de la détourner ravagea les esprits veules des élites. L’omniprésence des lignées juives au sein des différentes monarchies européennes est source de confusion. Il s’agissait de concentrer toujours plus une génétique particulière sans pour autant réaliser le plan de rédemption mais pour la dévoyer à des fins de domination des peuples.
La royauté face à la décadence
Dans les derniers soubresauts de l’empire romain, le peuple Franc était une tribu mineure parmi tous les envahisseurs. Ils furent le premier peuple, barbare selon les Romains, à se convertir au christianisme. Après son sacre, Clovis défit les tribus rivales les unes après les autres. Sous son règne, il constitua le véritable premier royaume chrétien. Les Francs se sentaient comme les instruments du dessein de Dieu. Face à la décadence romaine, les Francs voyaient en Clovis une bénédiction divine. L’Église catholique voyaient en lui un bras armé à son service. L’onction de l’huile sainte semblait lui procurer l’appui de Dieu et une force à tout épreuve.
L’intercession de Saint-Rémi pour sacrer Clovis est similaire à celle du prophète Samuel qui sacra Saül, puis David rois d’Israël.
Passée sous la domination des Philistins, la terre de Canaan des tribus israélites devenait un lieu de dépravation des mœurs, d’immoralité et d’assombrissement des cœurs. L’idolâtrie régnait. Sous cette oppression étrangère, Dieu suscita un personnage du nom de David afin de l’investir de sa puissance. Il devait accomplir ce que les autres avaient été impuissants à réaliser. Il devait accomplir un dessein divin là où Saül avait failli. Élevé au rang de roi, David devait assurer le salut de son peuple sans se laisser corrompre par le pouvoir. Alors que plusieurs formes de gouvernement s’étaient succédé, ce fut un roi, issu des plus humbles, élevé par la providence divine, qui releva ce peuple de l’abaissement.
Plus qu’une trajectoire similaire entre David et Clovis, c’est un lien direct qui les unis dont le pivot est Jésus/Yeshua et Marie-Madeleine.
La lignée de Pépin le Bref
L’ascendance de Pépin III, dit le Bref, se cache dans le secret de la lignée originelle des Mérovingiens.
Le véritable premier fils de Clovis et Clotilde étant mort presque aussitôt né, Clodomir est historiquement perçu comme l’ainé parmi la descendance de Clovis. Afin de ne pas risquer la perdition de son âme, la mère de Clodomir le fit baptiser peu après sa naissance. La mort des nouveau-nés était fréquente. À la mort de Clovis, Clodomir et ses trois frères se partagèrent le royaume franc de leur illustre père. Une nouvelle partition des royaumes surgit à la mort de Clodomir. La loi salique imposait le morcellement territorial par le partage du royaume de Clodomir entre ses trois fils, Thibaud, Gonthier et Clodoald. Deux des frères de Clodomir s’arrogèrent son territoire en coupant sa lignée. Ils assassinèrent ses fils. Tous sauf un. Le plus jeune, Clodoald, réussit à s’enfuir.
Clodoald renonça à la royauté afin de s’affranchir de la menace de ses oncles. Il se fit tondre les cheveux et devint abbé sous le nom de Saint-Cloud.
L’histoire aurait pu en rester là mais il n’en fut rien.
La lignée christique de Clovis s’interrompit avec cette triple disparition, celle de Clodomir et de deux de ses fils. Ses frères n’avaient pas le même potentiel génétique, ni l’aspiration à unir leurs polarités contraires. Ils ne reçurent pas non plus la véritable essence christique qui ne passa qu’à Clodomir. Les Mérovingiens sombrèrent dans les guerres intestines, l’indigence, la pauvreté d’esprit et les calculs politiques afin de se maintenir au pouvoir. Chaque monarque mérovingien était plus faible, plus indolent, plus soumis à la partisanerie et plus illégitime que le précédent. La dynastie des rois fainéants, faits néant, s’éteint avec le roi Childéric III. Tondu, envoyé dans un monastère, il fut déposé honteusement.
Après des années de vie recluse, Clodoald se fit passer pour mort et quitta en 560 son monastère. Âgé de 38 ans, il entama une deuxième vie en restant dans l’ombre, tel un roi caché mais légitime. Au cours d’une prière dans la chapelle, Clodoald aurait entendu un commandement divin lui enjoignant de mettre un terme à sa vie recluse, de prendre une épouse afin d’engendrer un fils. Sa jeune femme, seulement âgée de quinze ans, lui donna un fils, cinq ans après son départ du monastère. Ils l’appelèrent Pépin. Clodoald aurait affirmé à son épouse que :
Par ce fils, moi, roi caché, je vais reprendre le trône qui me revient de droit. Un jour, mes fils seront rois et le seront jusqu’au dernier jour.
Il enseigna son fils comme un roi enseigne le sien. Ce fils, Pépin, engendra Bige. Celui-ci eut pour descendance Pépin dit le Jeune, père de Charles Martel et grand-père de Pépin le Bref. La lignée du Roi caché, celle de Clodoald, se déploya en parallèle de la lignée devenue illégitime des branches mérovingiennes secondaires. Cette lignée s’était infiltrée dans l’ombre des Mérovingiens en occupant successivement la position de maire du palais.
L’extinction des Mérovingiens
Pépin III avait habilement manœuvré pour mettre fin à la dynastie des Mérovingiens et se présenter comme l’unique successeur.
Tout d’abord au sein de sa propre fratrie où il s’est allié à son frère ainé, Carloman, pour soumettre militairement leur troisième frère Griffon, le plus jeune. Griffon fut interné. Par la suite, ce même frère ainé embrassa une vie monastique. La pression aurait été forte qu’il emprunte cette voie et qu’il renonce à ses prétentions au profit de Pépin III. Ce dernier écarta également Drogon, le fils de Carloman.
Ensuite au sein de la lignée des Mérovingiens, Pépin III appuya dans un premier temps la succession de Childéric III, pour mieux l’écarter et déclarer la fin de trois siècles mérovingiens. La voie devint libre. Pépin III, roi des Francs, se fit élire en 751. Le pape s’y opposa dans un premier temps car Pépin le Bref faisait figure d’usurpateur. Il fallut l’intercession du frère aîné de Pépin le Bref, dorénavant homme d’église de son état, pour convaincre le pape. Il invoqua la volonté de Dieu d’avoir placé leur lignée familiale comme maire du palais depuis trois générations. S’ils avaient été illégitimes, Dieu les aurait écartés et les aurait châtiés. Le pape se plia à l’argumentation mais rappela que Saint-Rémi avait donné sa malédiction à ceux qui profaneront le trône des Francs. Les Mérovingiens qui avaient usurpé le trône depuis Clodomir, avaient été maudits et reçurent leur châtiment.
L’avertissement avait été donné et la malédiction planait sur la prochaine dynastie, celle des Carolingiens.
C’est là que je parvins à inscrire une vision qui bouleversa ma conception républicaine de l’histoire des rois de France.
Le sacre de celui que l’Histoire ne retint pas
Chacun d’entre nous, dans notre vie présente, est une extension de son âme. Elle reste gardienne de toutes nos mémoires. Elle juge le moment opportun de se rappeler à nous lorsqu’il nous est nécessaire de comprendre. Elle ouvre alors une porte sur d’autres aspects de nous-mêmes.
Je passe de nouveau cette porte.
Une foule se masse à l’intérieur de l’édifice. Une foule encore plus nombreuse se tient à l’extérieur. Des regards farouches et excités se croisent. Les hommes portent des manteaux tenus par une agrafe et bordés de fourrures. Des bijoux en or ornent leurs chemises de lin ou de laine. Ils portent les cheveux longs, des tresses et de longues barbes. Les femmes s’habillent de teintes plus colorées. Leurs chemises de lins sont serrées par des ceintures. Ce sont tous des représentants d’une noblesse.
Je me sais présent, en ce lieu, en ce temps. Je ne sais si j’observe la scène de mes propres yeux. Je me sens étouffé par la foule innombrable. L’édifice est haut, une voûte de pierre au-dessus de ma tête. La foule, présente dans ces murs, s’écarte afin de libérer la travée centrale. Je vois enfin une grande porte ouverte et un autel surélevé à l’autre extrémité où se tiennent des hommes d’église.
Ma vision glisse. Une procession d’hommes remonte la travée. Je ressens la présence de guides invisibles alors même que je revis cette mémoire d’une vie passée. Ils me montrent une lumière extraordinaire. Elle s’est matérialisée au-dessus de l’assemblée. Je m’adresse à mes guides pour leur demander pourquoi les gens ne lèvent pas les yeux vers elle. Cette lumière est si bienveillante. Elle irradie une félicité qui me subjugue. Alors qu’elle poursuit sa descente, je suis attiré vers un enfant de 3 ans. Il est habillé tout en blanc. Un garçon plus âgé le devance, lui-même précédé d’un homme trapu au visage dur. Bien qu’accompagné de servants, ils se distinguent tous les trois par le port d’une tunique ample et grossière.
Je ne peux me détacher du jeune enfant. Il tient ses mains devant lui. Je perçois sa confusion. Un liquide sombre a été versé sur le sommet de son crâne et dégouline sur son front comme une couronne de sang. Mais son regard est rivé sur le creux de ses mains. Elles accueillent au creux des paumes cette même substance huileuse pourpre.
La lumière se pose sur l’enfant de 3 ans. La foule présente ne porte son attention que sur l’homme qui vient d’atteindre l’autel. Je comprends enfin qu’il s’agit d’un sacre, d’un sacre royal. La vision s’éteint.
Ce que le monde terrestre décide d’ériger sur un piédestal n’est pas toujours ce que le divin choisit.
Au sortir de cette vision, je suis incapable de replacer cette scène dans la trame historique. Je n’ai aucun nom, aucun lieu, aucune date. Mes guides de l’invisible m’éclaireront patiemment et m’aideront à en comprendre le sens profond.
Le véritable sacre christique de 754
Pépin ne monta pas sur le trône porté par un peuple franc unanime. Il ne pouvait se contenter d’une acclamation par la noblesse franque et d’une élévation sur le pavois. Afin d’assoir une plus grande légitimité, fut réintroduit l’onction royale par l’huile sainte, sur le modèle de l’onction de David dans la Bible. Pépin ne fit pas appel à l’agrément des puissants seigneurs du royaume, comme au temps des Mérovingiens, mais à Dieu et ses auto-proclamés accesseurs, les papes.
Sacré une première fois en 751, le véritable sacre ne se déroula que trois années plus tard, le 27 juillet 754, sous l’égide du pape Étienne II en la basilique de Saint-Denis. Le pape lui conféra les titres de roi des Francs et de Patrice des Romains ou Patricius Romanorum. Il marqua le corps du nouveau roi des Francs avec l’huile sainte ou Saint-Chrême afin de reproduire les stigmates de Jésus-Christ.
Il est intéressant de noter la symbolique de la date :
2+7 + 7 + 7+5+4 = 32 et 3+2 = 5
Le chiffre 5 est le symbole de l’Homme parfait. C’est aussi le nombre de la grâce divine. Pour Blavatsky, le chiffre 5 est l’esprit de vie et d’amour humain.
Ce fut en réalité un triple évènement. Les fils et héritiers de Pépin, Carloman Ier et Charles Ier, furent sacrés et oints avec leur père. Si l’âge de Carloman Ier est connu avec certitude, 3 ans en 754, celui du futur Charlemagne reste encore sujet à controverse. Un relent d’illégitimité pèse sur le futur empereur. Des incohérences existent par rapport à la date d’union de son père et de sa mère, Berthe de Laon dite « au Grand Pied ». Fils de Pépin, il ne l’est pas forcément de Berthe, autre falsification de l’Histoire. Il est fait mention d’une certaine Leutburgie, première épouse de Pépin III. Les souverains répudiaient leur précédente épouse à chaque nouveau mariage. Or la lignée matriarcale est impérative dans l’établissement du terreau génétique favorable à l’Esprit de Dieu.
La propre filiation maternelle de Berthe de Laon, mère de Carloman Ier, se perd dans les méandres de l’Histoire. Cependant, son ascendance mérovingienne est réelle. Sa filiation la relie au roi mérovingien Thierry III. L’origine de la mère de celui-ci, Bathilde, offre une clé essentielle. Originaire de l’Angleterre anglo-saxonne, elle vint dans les royaumes Francs à titre d’esclave. Devenue servante pour le maire du palais de son époque, elle s’éleva jusqu’à devenir l’épouse du roi de Neustrie et par conséquent reine des Francs. Elle transmit à sa descendance sa génétique juive. Celle-ci ne descend que par les femmes. L’importance de Bathilde se retrouve dans le culte qu’on lui voua sous le règne de Pépin III et de son épouse et descendante Berthe.
Cette lignée juive par la mère se retrouve aussi du côté de Pépin III, fils de Charles Martel et de Rotrude, elle aussi d’ascendance juive.
Le Roi dormant et l’usurpateur
Pépin s’éteint en 768. Sa succession est entendue et ses fils devront se partager le royaume. Carloman Ier fut sacré roi des Francs à Soissons le 9 octobre 768, sous le nom de Carlomannus Rex Francorum.
9 + 1+0 + 7+6+8 = 31 et 3+1 = 4
Le jour même, Charlemagne est également sacré roi des Francs à Noyon, sous le nom de Carolus Rex Francorum.
Deux rois se réclamaient de la même énergie du nombre 4, la carte de l’Empereur dans le tarot. Deux prétendants pour un seul trône. Deux demi-frères qui ne s’entendent guère.
La disparition de Carloman Ier
Trois années après avoir hérités des territoires de leur père décédé, s’éteint Carloman Ier d’un saignement du nez le 4 décembre 771 :
4 + 1+2 + 7+7+1 = 22 et 2+2 = 4
Bien que cela soit encore l’objet de débats, Charles n’est pas étranger à la mort soudaine de son frère. À la mort de celui-ci, Charles fit emprisonner les fils de son frère. Bien que cela soit totalement illégitime, il les évinça des terres de leur père. Cette triple élimination lui permit d’assoir sa domination sur tous les royaumes francs. Ses visées impérialistes pouvaient dès lors se réaliser. Bien que la dynastie aurait dû se nommer celle des Pépinides, c’est Charlemagne qui imprégna l’Histoire avec la lignée des Carolingiens. Il est couronné empereur à Rome par le pape Léon III le 25 décembre 800, supposé jour anniversaire de la naissance du Christ. Charlemagne prévoira par la suite sa succession et le partage de l’Empire entre ses trois fils.
Carloman Ier est inhumé en l’église abbatiale de Saint-Rémi de Reims. Or la destinée de sa sépulture est mystérieuse. De par son rang, il aurait dû être honoré par un monument funéraire. Aucune épitaphe dans l’église ne mentionne Carloman Ier, à la différence de tous les autres rois inhumés. Son corps a mystérieusement disparu. Le crâne, siège de la Connaissance, est devenu une précieuse relique pour les Templiers, trésor jalousement retenu.
Les vikings ou la colère de Dieu
Mes guides me poussèrent à faire un saut dans l’histoire. Chaque fois que je complétais cet article, mon regard tombait subitement sur l’heure double 14h14. Je n’en comprenais pas le message, jusqu’à ce qu’ils me soufflèrent d’additionner 14+14 : 28, l’Eure-et-Loir, la Cathédrale de Chartres et ses mystères, sa grande rosace de presque 14 mètres de diamètre, sa nef large de 14 mètres, le Roi David sur la verrière Nord.
Le Nord justement…
Sous le règne de Charlemagne, les vikings se répandirent peu à peu en Europe du Nord afin de la ravager. Ils mirent les pieds en France juste avant le sacre de l’an 800. L’avertissement était lancé. Sur leurs navires à tête de dragon, ils terrorisent, pillent et déstabilisent tous les royaumes à leur portée. Peste pour les uns, le bras armé du châtiment de Dieu pour les autres. Les rois carolingiens successifs furent éprouvés par les Vikings.
En l’an 911, les Normands sont sous les remparts de Chartres. Leur meneur, Hrólfr, aurait eu une apparition mariale. Alors même que l’évêque de la cité avait hissé une précieuse relique sur les murs de la ville, le Voile de la Vierge, celle-ci serait apparue à Hrólfr. L’apparition de cette Femme étincelante aurait subjuguée les Vikings. Elle serait restée silencieuse et leur aurait pointé les terres de l’Ouest. Alors que la victoire leur était acquise, les Vikings cessèrent leur attaque et épargnèrent la cité de Chartres. Les Francs semblaient ne pas avoir vu cette apparition et invoquèrent un miracle attribuable au Voile de la Vierge. Les Vikings personnifièrent cette Femme de lumière, cette Walkyrie, sous le nom de Brynhildr, francisé en Brunehilde.
En abandonnant ce combat, Hrólfr et ses hommes avaient contrevenu à leur Dieu guerrier Odin. Hrólfr offrit un traité de paix au roi francs Charles III. La Normandie lui fut acquise. Il embrassa le christianisme. Il prit le nom francisé de Rollon. La dernière concession exigée de Charles III fut de lui offrir sa fille en mariage. Rollon serait un lointain descendant de Halfdan le Vieux, roi issu du Dieu Odin lui-même selon les légendes nordiques. L’alliance christique fut renouvelée dans cette union entre une branche divine scandinave et la lignée davidique franque.
Rollon sera l’ancêtre des futurs rois capétiens. La malédiction de Saint-Rémi s’abattit sur la lignée sacrilège des Carolingiens après s’être abattu sur celle des Mérovingiens. Les prétentions illégitimes de rois terrestres sur la royauté céleste furent châtiées. Lorsque les lignées sont corrompues, Dieu envoie un destructeur comme châtiment. En ces destructeurs, un germe particulier est à chaque fois placé. Ce germe est déposé pour exprimer une royauté conforme aux plans de lumière.
L’origine céleste de ces rois cachés
Face au déni de justice, l’adhésion au sauveur transcende les époques. Découvrir que l’on peut percevoir une autre réalité, que l’on peut démasquer des manipulations, que l’on intègre les enjeux issus d’autres dimensions, nous rappellent que l’extraordinaire n’est peut-être pas si lointain de l’ordinaire.
Simple réconfort à la crise spirituelle ou intuition d’un changement de paradigme à venir ?
Il n’est pas à attendre une personnification de ce sauveur en un Roi ou une Reine, ce sauveur est avant tout en chacun. Vient prochainement le temps d’ouvrir le dernier volet de ce quadriptyque, celui relatant l’épopée des Kumaras. Ces instructeurs stellaires rappellent le potentiel qui sommeille en chaque homme ou femme toutes les fois où les Ténèbres s’apprêtent à triompher.
Pour une lecture paisible, vous avez la possibilité d’imprimer l’article :
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Samuel :
Si le son est un puissant vecteur vibratoire, les mots le sont tout autant. Chacun se doit de retrouver le don dont il est pourvu pour élever son être intérieur et contribuer à libérer le plein potentiel de chacun à son contact 🙂
Ça parle et ça rejoint effectivement des visions, des flashes, des rêves… Merci
Bonjour!!! Merci pour ces infos! Bertrand Pépin descendant de Pépin le Bref par Henri IV et Gabrielle D’Estrées.
Bonjour,
Pouvez-vous me dire ce que représente la grande image? Le grand oiseau? Je le vois partout mais de manière plus lumineuse. Et dans mes visions, nous faisons la même chose pour se dire bonjour et au revoir… Front contre front.
Même lors de mes méditations il m’apparait.
Pouvez-vous me répondre par email?
Un tout grand merci pour vos textes et vos partages.
Namasté
Unili
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Samuel :
L’Esprit Saint est immatériel par nature. L’onction divine repose sur la descente de l’Esprit Saint dans la matière. L’œil pariétal, sur le sommet du crâne humain, est un héritage de notre lignage Serpent-Dragon que nous portons tous à divers degrés selon chaque individu. Cet œil est le point de réception de l’onction divine. Le « front à front » est une mise en contact des portes de chaque crâne, humain et aigle.
La blanche colombe, signe de pureté, est employée comme symbole de l’Esprit Saint envoyé par la Source divine auprès de ceux qui sont prêts à être oints.
L’Esprit Saint irradie certes comme une pure Lumière blanche. Il est aussi d’une force et d’une majestuosité que l’aigle représente mieux que la colombe. Tel en est la représentation personnelle que ma mémoire porte.
Le dormeur, doucement mais sûrement, se réveille.
https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/lachevalerielatablerondeetlegraal.html
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Samuel :
Une recherche vraiment remarquable dans ton article, merci de ce partage et de cet enrichissement personnel !
C’est tout simplement énorme, ces paroles résonnent en moi de façon parfaite. Merci pour vos lumières dans cette période si sombre.
Bonjour Samuel.
Pour répondre au texte du bas, je dois passé par ici car je ne peux le faire autrement.
Changer ? Mais ne change rien ….
Soit toi et toujours toi.
Si je pose une question, c’est pour mieux comprendre et non, jamais critiquer ou pire démolir quoi que ce soit !!!
Il se peut aussi que je sois perçu comme agressif ou « chialeux ».
Mais ce n’en n’est rien.
Curieux que oui… À la recherche de la vérité…que ouiiiiii…..
Mais toujours posé et chaleureux.
Inquiet ? Oui par moment et avec les agissements humain, rien pour me rassurer.
Ironique ? Parfois mais très rare.
Ne change jamais ta perception car elle est belle. Même si un être qui semble critique te pose des questions… c’est a lui de chercher et de comprendre…lol !!
La perception de tout un chacun est primordial.
Laisse aller ce que tu ressent… ce que tu es… ton être…
Tu es beau à lire et à suivre… Ne change rien… je t’en supplie ne change rien…
Je reviens suite à une « petite « intervention de mes guides, avec cette infinie délicatesse pleine d’amour et de douceur doublée de fermeté, celle de la simple réalité, de la place de chaque chose, qui est la signature vibratoire de ces espaces-là…
Le lendemain de nos échanges sur ce sujet, le déploiement continue, j’ai reçu un discret appel sur le Germanium (numéro atomique 32), germanium même racine que Germain, Saint Germain, peut-être le double masculin de Sainte Geneviève, et mon attention a aussi été dirigée sur le germanium par (vous saurez tout ! lol) ma douche géothermale qui s’est mise à fuir beaucoup, et j’ai dû m’en préoccuper de près et c’est alors que j’ai remarqué qu’un des étages de filtration était composé de germanium… Le germanium est donc par nature un puissant filtrant des toxiques…
Et j’ai regardé à nouveau l’histoire des ces saints : ils sont en fait contemporains et proches de Clovis ! Geneviève, Clovis et Clotilde sont même enterrés ensemble tous les trois sous l’actuelle Montagne Sainte Geneviève de Paris (anciennement dans l’église Saint-Pierre-Saint-Paul, et actuellement sous le lycée Henri IV).
Hommage au beau au bois dormant, au Roi en filigrane, que l’on perçoit en transparence, privé de sa substance vitale ponctionnée dans son esprit et sa puissance vitale au cœur même de la matière (par l’atome, et on peut le noter aussi par la sculpture de Shiva dansant, représentant ce Roi cosmique, et, forme d’esclavage des forces naturelles de l’Univers, nourrissant littéralement le CERN à Genève). Genève, Geneviève. Genève dont un des vortex principaux est dans l’église Saint Germain.).
Geneviève et Germain sont porteurs chacun d’un mouvement complémentaire dynamique de l’Univers, les 2 spirales créatrices. Là où les spirales se rencontrent, un croisement, un lieu fécond, se forme un pétale de la Rose de Vie. Ponctionné de son esprit et de son énergie vitale, et souillé jusqu’à en devenir à son tour toxique.
Un grand merci à toi Samuel pour ta Foi à suivre tes intuitions et guidances… creuset de tous ces échanges riches et fructueux.
Petit complément du jour. Je rebondis aussi sur ton beau texte Véronique et le 2.
222 / trois 2 / 32
Synchronicités avec une énigme d’une suite mathématique qui m’a été envoyée aujourd’hui même dans un réseau de parents 2 10 12 17 18 19 puis? La réponse est phonétique : ce sont les nombres qui commencent par D, donc la suite est 200, 201, etc jusqu’à 299 puis 2000, etc.
Les seuls trois chiffres commençant par D, sont deux dix et douze (puis ce sont des reprises de ces trois-là pour les suivants, mais ils ne sont pas compris entre zéro et neuf bien entendu !!!)
Ce qui m’a interpellée : les seuls 3 chiffres entre 0 et 9 commençant par D sont deux, dix et douze. 2+10+12 = 24, donc en quintessence = 6 / deux 3 / 23 / 33
On est vraiment dans une relation miroir entre 23 et 32. C’est un enseignement à mon sens sur l’origine de notre monde. Le miroir comme clé de lecture de notre monde, construit à l’envers, vécu à l’envers ou en inverse.
J’ai croisé tout à l’heure le chiffre 222 au moment où j’arrivais devant l’église Sainte Geneviève, et GEGE, Gégé comme Geneviève (et ma tante Geneviève qui se fait appeler Gégée…). Je regarde donc en rentrant l’élément chimique Ge, c’est le Germanium de numéro atomique…vous ne devinerez jamais, …32 !!!
Un autre féminin cosmique, Geneviève, la patronne de Paris (Par Isis).
Le germanium s’avère être utilisé par notre monde inversé dans les technologies de hautes fréquences, les microondes invisibles et si dévastatrices…
J’en suis ébahie tout de même, mais c’est d’une logique implacable : l’Esprit du Féminin cosmique est systématiquement ponctionné dans son essence vitalisante et dans son esprit pour être réduit à l’esclavage d’une cause mortifère et sordide et servir de poison (radioactivité, hautes fréquences, pollution atmosphérique…). (NB : Le Vanadium est largement présent dans la pollution de l’air de nos villes, car il est en effet fabriqué de façon artificielle par la combustion des hydrocarbures issus du pétrole donc tous nos moteurs, avions, voitures, etc). Et c’est toujours invisible.
La dernière en date sera la technologie Keshe pas polluante physiquement mais psychiquement une forme d’esclavage qui est en route.
L’autre enseignement de la journée (et qui est en complément avec ton commentaire, Claire), est en relation à un texte que j’ai reçu ce matin qui évoque les cartes du tarot de Marseille, la carte X (la Roue de Fortune ou la capacité à se retourner ) et la XII (le Pendu ou l’Inversé faudrait-il dire !). Elles s’associent donc de façon évidente à la lecture des résonances du jour des 222 et DDD à la carte II (la Papesse, le Féminin?) qui les sous-tend.
Un D, un dé est aussi un cube de 3 couples de 2 faces en miroir.
Je dirais en conclusion que derrière le Roi dormant ou sous anesthésie, la Reine esclave. Derrière le Roi en réveil, la Reine en libération. Tout cela à l’intérieur de soi et aussi à l’extérieur. Je perçois qu’on est tous oints en tant qu’humains en ces temps actuels, tant on est arrosés de façon indéfectible d’énergies lumineuses et de bienveillance Unvisible.
Je te rejoins complètement Véronique sur le contenu du Graal.
Et merci Claire pour l’information sur l’angle d’inclinaison de la Terre…????
Bonjour et merci pour ces partages ! Juste pour rebondir sur le 2 et le 3…
23°, c’est aussi l’angle d’inclinaison de la Terre… qui nous renverrait à notre propre alignement… dans mon vécu et mon ressenti, c’est vraiment d’actualité en 2017, comme s’il fallait « choisir son camp » minute par minute, accroître la vigilance du cœur pour ne pas se laisser déstabiliser… fuir ou chuter.
+ dans le Tarot, les lames 2 et 3 sont les femmes emblématiques, soit, en version ultra rapide : lame #2 = La Papesse (la croissance intérieure, la « femme-esprit »), lame #3 = L’Impératrice (l’engagement, la femme incarnée). L’association des 2 (3+2) crée la lame #5 = Le Pape = l’accord, la sagesse, la protection, la bénédiction…
Bien vu Samuel de « réintroduire, en ce 21 janvier 2017, le Roi caché » même si, pour être vraiment puriste, il aurait fallu publier l’année prochaine pour être en année 2 ! (Louis XVI, + 21.01.1793 😉
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Samuel :
Cet article s’est bâti autour de la vision que je relate dans ce texte. J’ai pris le temps de l’intégrer. Un soir, mes guides me dirent d’allumer la télé et d’aller sur TV5. Il était diffusé l’épisode de « Secret d’histoire » sur les traces de Charlemagne. C’est là que j’ai ressenti des vibrations dans mon corps, typique lorsque je rentre en résonance avec une part oubliée de moi-même. Mes guides me poussèrent à n’en parler que ce mois-ci et me mirent sur des pistes numérologiques. Mais c’est vraiment en écrivant sous leur inspiration que je découvrais au fur et à mesure là ils voulaient m’amener. L’écriture s’est étalée sur plusieurs jours. Ils me disaient qu’au matin du 21 janvier, j’aurais le ton juste pour finaliser mon texte et que je pourrais publier. Je n’avais pas du tout à l’esprit ces analyses numérologiques. Je savais uniquement que cet article était de vibration 3. C’est en me relisant après publication que je l’explore pour trouver ce qui s’est glissé et que j’ai pas compris lorsque j’étais sous inspiration d’écriture.
Et pour moi, l’année 2017 est mon année 1.
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Samuel :
Cet essai se veut au-delà des notions dynastiques actuelles : monarchiste, royaliste, légitimiste, orléaniste, alliance royale, Comte de Chambord, Duc d’Anjou, Comte de paris, mission divine de la France etc. La vérité du devenir du dauphin de France, Louis xvii, reste pour l’instant dans le secret de l’Éternel!
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Bonjour à tous !
Véronique…ouff, C’est exactement cela…
Tu as cette façon de voir la chose sur un angle que je comprends mieux.
Cécile… que oui… unissons nous.
À chacun son point de vue et sa vision.
C’est comme aller voir un spectacle d’où on le perçois chacun a sa façon.
Aller voir un film… qui le décrira d la même façon ?
Pourtant, le même scénario….. Mais une vision de conception différente d’où la beauté des possibilités de perceptions.
Le temps est venu de se réunir.
Le temps est venu de parler…échanger…cristalliser l’être en nous et ascensionner…
La plupart des êtres de lumière préfèrent s’abstenir à aider.
La plupart des êtres de lumière pensent que se tenir dans la lumière est la bonne façon d’avancer et ascensionner dans ce qui est appelé la montée vibratoire.
Jésus et bien d’autres ont compris cet état Christique et l’on crier au-delà des murs des royaumes.
Comme Samuel le dit et redit, c’est ici l’endroit où il déclare sa vision.
Merci à TOI Samuel pour tout cela.
Merci À VOUS qui osés vous présenter à tous.
Merci au père céleste pour toutes ces belles révélations qui sont en nous…
Sifflement dans nos têtes, augmentation vibratoire, visions, ressentiment puissant…
La beauté du regard qui sourit à la vie tenant la main du cœur qui s’envole dans le firmament…
bonsoir Samuel, et bonsoir à tous. Samuel, ton texte a déclenché un puissant mouvement archétypal en moi lors d’une méditation cet après-midi, je vous retranscris ici les bribes que j’en ai récoltées.
Le Prophète et le Roi
Il est des figures archétypales qui nous accompagnent et nous aident à développer notre compréhension et à construire le Royaume intérieur, à établir la souveraineté consciente en soi.
Parmi ces figures, celles du Prophète et du Roi sont essentielles.
Le Prophète est l’Annonciateur et le Révélateur. Le porteur de la Vérité divine.
Le Roi est le Rassembleur et le Meneur. L’incarnation du Soleil divin.
Le monde extérieur, celui des formes, reflète nos dynamiques intérieures. Si l’on considère son espace intérieur comme un royaume, qui règne en dedans ? Qui concilie les intérêts apparemment contradictoires ? Qui parvient à établir une paix réelle et à associer les usurpateurs, les saboteurs et les commensaux à l’œuvre du Bien commun ? À concilier les intérêts particuliers apparemment divergents ?
Cette prise de conscience qu’il manque un roi souverain au royaume intérieur est une prise de conscience qui s’avère rapidement salutaire car elle appelle le Roi réel à se manifester enfin.
Cette prise de conscience demande d’être développée afin de défricher l’accès au trône. L’ego jusque-là meneur est-il un usurpateur ou un simple « second mal-qualifié » ? À quoi est-ce que je donne la primauté dans la vie qui me traverse ? Où est-ce que je me positionne à chaque instant, dans le camp de l’Amour ou dans celui de la Peur ? Dit autrement, quel est le maître que je choisis ? Et aussi, quels égrégores détiennent-ils encore des parts de moi dans des zones du bas-astral ? Où et sur quoi est-ce que je focalise mon attention ? Qu’est-ce que je nourris et qu’est-ce qui me nourrit ?
Cette réflexion mène à apprendre à discerner l’illusion, le faux (« l’illégitime ») et cesser de le servir.
La « Chute » d’une civilisation, sa fin, est le début d’une transition pour l’édification de la suivante. Les Chutes chaotiques, violentes et douloureuses, préludes aux transitions, reflètent la puissance de résistance de l’ego, qui est programmé pour la prédation, la séparation et la reproduction.
Le Roi réussit son accession au Pouvoir précisément quand il parvient à associer et assujettir l’ego fragmenté et sa force. Le Roi légitime rassemble ses sujets auparavant divisés, qui sont satisfaits et soulagés de se soumettre à son autorité bénéfique, œuvrant pour le Bien commun. Le Roi est la force de cohésion. Il attire et décrète. Il est transcendant.
Le timing appartient au divin. Certaines parts doivent rester cachées, occultes, jusqu’à ce que leur heure ait sonné. Qui peut proclamer le légitime ou l’illégitime aux yeux de Dieu ? Seul le véritable Prophète le peut, et il assume une lourde responsabilité. Pour lui, l’alignement à la Loi est indispensable, ainsi que la Foi et l’offrande de Soi.
Le Prophète est l’intermédiaire entre Dieu et son groupe humain ; il a pour mission d’éclairer la vision et de rapporter ce qu’il a pu recevoir et comprendre du Divin.
Il détient le Pouvoir du Verbe aligné.
Le Roi et le Prophète sont tous deux agents de la Loi divine. Tous deux mettent en œuvre leur responsabilité au service de Dieu-Amour et de leur groupe humain. Ils ont dépassé leur intérêt particulier.
Nous pouvons faire le lien avec Jean le Baptiste et Jésus le Christ.
Celui qui baptise d’Eau et Celui qui baptise de Lumière.
Lorsque ces puissants schèmes psychiques se déploient en conscience, Dieu peut venir ensemencer l’être, c’est la descente du Saint Esprit.
Le Roi et le Prophète alignés ont unifié leurs polarités Yin/Yang.
Le Prophète est un récepteur actif. Il reçoit le message divin plein de la vibration d’Amour et le retranscrit auprès de son peuple pour l’éclairer et l’élever.
Le Roi est un acteur passif. Il tient sa légitimité et son Pouvoir d’être oint de Dieu.
C’est en choisissant le pouvoir de l’Amour, c’est-à-dire d’être réceptacle et émetteur de la force primale de Vie-lumière, et en renonçant à l’amour du Pouvoir, en s’élevant au-dessus des intérêts particuliers, qu’il unifie en lui Yin/Yang.
Il règne mais ce n’est pas lui qui exerce, qui agit : ce sont les sujets du Royaume, accordés au Pouvoir central, à la lumière solaire qu’il rayonne.
Un message christique reprend souvent la nécessité d’être au moins deux pour assumer le relais christique, pour pouvoir accomplir la volonté divine.
Cela traite de la nature profondément relationnelle de l’être humain. On est grâce, par et pour l’autre.
Deux au nom de Christ, signifie deux s’associant dans l’œuvre christique, c’est-à-dire renonçant à la primauté accordée à l’ego individuel.
La manifestation christique appelle le 2 ; les Christ Jésus et Marie Madeleine sont venus à deux, comme cela est toujours le cas même si souvent l’un est dans l’ombre de l’autre.
De même le Prophète et le Roi s’associent-ils pour faire valoir leur propre légitimité divine. Le Roi et le Prophète réels ont réussi à s’installer sous l’égide de l’Esprit de manière prioritaire, principale et permanente.
Dans ma vision concernant le Prophète et le Roi, je vois ce jour comment leur association est féconde.
Le 1 = la Vérité
Le 2 = le Royaume
Le 3 = la Gloire de Dieu, l’Amour incarné
La Gloire de Dieu est ici le Créateur et la créature scellant leur reconnaissance mutuelle et fusionnant au sein de l’expérience incarnée. Cela commence par la Gnose, le lien direct entre l’être humain et le Dieu connecté depuis l’intérieur.
Chacun d’entre nous a en lui le potentiel du Prophète, de Roi et de l’Amour incarné.
C’est notre héritage humain et chacun parcourt la voie à son rythme.
Le sang. Le Graal est le contenant du sang royal. Le Graal symbolise l’utérus et le sang royal, porteur de tous les possibles, est le sang menstruel. Le sang menstruel est un sang spécial, qui coule sans blessure et rythme les temps, dont de récentes études ont démontré qu’il détenait toutes les cellules souches de l’humain et contenait un formidable potentiel de guérison et de régénération.
La femme christique, héritière de Marie Madeleine, détient dans son sang menstruel l’ensemble des matrices du Nouveau. Le Féminin est gardien des formes.
Cet héritage est universel. Accessible à qui le décide et le demande consciemment.
Les Gardiens de l’énergie christique qui se sont succédé au fil des temps ne furent pas reliés par le fil génétique matériel sinon par le fil de l’Esprit.
Merci d’avoir lu !
C’est exactement cela, Samuel, c’est effectivement uniquement parce qu’il s’agit d’un réel présent que je partage mes synchronicités et résonances qui sont avant tout personnelles (et je préfère de loin rester discrète de manière générale, publier n’étant pas sans conséquences).
Je te remercie encore pour l’accueil que tu fais des commentaires. Je me suis trompée de date, tu as publié le 21 et non pas le 23, mais moi, je l’ai reçu, par je ne sais quel mystère de l’informatique, le 23 et l’ai lu le 23.
Mes « connaissances » en numérologie et symboles me sont offertes quasiment en même temps que je les partage en fait. Et là je dois dire que l’enfant qui accompagne ma vie a largement participé à m’en enseigner le sens. Les enfants d’aujourd’hui -pourvu qu’on ne leur coupe pas leur ailes- sont un trésor de connaissances infuses. Ils sont précieux.
Loin de moi l’idée de donner des leçons en quoi que ce soit en tous les cas, c’est le travail d’équipe qui m’intéresse, je nous vois tous comme des pièces d’un puzzle géant, chacun selon sa forme précise à son emplacement précis offrant une lecture – la sienne- de la réalité, les éclairages différents permettant peu à peu de voir l’ensemble du tableau.
J’ai eu une autre indication cette nuit, 33 tours, tel les vieux vinyles de mon enfance, et j’ai pensé à la vitesse de rotation de la Terre qui augmentant permettrait d’accéder à des lectures enfin audibles ou lisibles, lectures qui étaient jusque là déformées par une variation de la vitesse de lecture.
Et une autre sur l’élément chimique de nombre atomique 23, le Vanadium, le numéro 23 dans le tableau périodique de Mendeleiev et appartenant à la colonne 5 ! Son symbole est V soit … 5 en chiffre romain (ça ne s’invente pas !)! On apprend sur wikipédia que le vanadium est aussi un pigment bleu, qu’il fut autrefois utilisé en céramique et en damasquinerie (technique du métal martelé à motif par inclusion mis au point en Syrie), et doit son nom à la déesse scandinave de la beauté Vanadis ou Dis des Vanir (ou Freyja), donc sans doute en rapport avec Vénus et aussi avec le Nord (s’agirait-il d’une part de l’ADN des vikings qui aurait été apporté par les vénusiens?). Attention, on se rapproche à nouveau des dragonnes et déesses mères et autres Vierges… ???? et ça ne loupe pas, puisque cet élément est aussi utilisé en … nucléaire… et là on rejoint l’armoise / Tchernobyl évoqué dans les commentaires de ton article sur la 3ème trompette.
Quelques synchronicités et résonances sur ton beau texte Samuel, résonances qui ne sont plus des appels du pied mais l’Unvisible me marcherait sur le pied, ça me ferait le même effet !????
Juste avant de le lire, je saignais du nez, ce qui ne m’était pas arrivé depuis des années, et cela a activé ma vigilance aux infos.
Le filigrane de 2 et de 3 apparaît dans ton texte Samuel et j’y suis sensibilisée depuis plusieurs jours, 2 + 3 = 5, mais aussi 2 et 3 = 23 miroir de 32, et ces nombres sont en lien avec 333, trois trinités, et tu parles d’onction, qui est aussi la descente de l ‘esprit saint sur un individu, ici, un roi, et un roi est en général assorti d’une reine, donc on a une trinité en fractale.
Comment ces liens se sont-ils faits pour moi? Il y a quelques jours, j’ai acheté sur une impulsion un canard que je ne connaissais pas « Top secret » (qui ne m’intéresse pas en fait), mais j’ai survolé un article sur le nombre 23 utilisé par l’élite pas si secrète que ça qui gère notre planète (un constat de son utilisation dans les films hollywodiens).
Puis un peu plus tard dans la journée, je tente d’expliquer une notion mathématique à ma fillette et l’on a tracé un carré formé de 3 lignes et 3 colonnes soit 3 x 3 carrés, et elle a compté le nombre de carrés (de tailles diverses) contenus dans ce carré : 23 me dit-elle ! (et il y en a 23), donc j’ai eu un premier lien entre 23 et 333 (23 carrés contenus dans 3 ensembles de 3 carrés que l’on a lu ligne par ligne ou colonne par colonne trois trois trois).
Par ailleurs je m’occupe de la chatte d’une voisine malade, chatte qui habite au numéro 32, et qui s’appelle Tiou : Tiou qui signifie 5 en égyptien…
Quant à ton texte très intéressant sur l’histoire revisitée des rois de France, je l’ai lue aujourd’hui – jour où tu l’as publié, le 23 janvier, 23ème jour de l’année.
J’ai alors eu l’idée de regarder sur le calendrier le 32ème jour, il s’agit du 1er février, et il reste… 333 jours avant la fin de l’année ce jour-là. On revient au lien 32 ou 23 et 333.
deux 3 est aussi lisible comme 33 (et trois 2 comme 222).
Et deux 3 « amoureux » en vis à vis donnent aussi un 8 ou un infini, l’infini du Père-Mère, Dieu/Déesse, de la Source…
Et cela résonne aussi avec ma lecture du Chaos des Origines d’A. Parks (j’y reviens car c’est synchrone), sur le version gnostique de la Genèse. Après plusieurs jours sans lecture, j’ai pu en lire un petit chapitre aujourd’hui et qui parlait indirectement de l’onction, sous le terme « lumière », lumière offerte par les Eons à certains individus incarnés, notamment par le biais du féminin (l’esprit saint serait l’esprit des/de la déesse(s) mère(s) d’après cette lecture).
Et un autre texte lu récemment parlait d’astrologie, de l’axe poissons-Vierge (que j’ai compris comme une trinité) et de l’axe gémeaux-sagittaire (une autre trinité si on considère que le sagittaire puisse être la dragonne Artémis dans ce cas).
Manifestement, 2 et 3 cherchent à enseigner en ce moment… à suivre donc…
Et pour clore ce paragraphe, sur la gamme, la deuxième note est Ré, et la troisième Mi, soit Rémi… et l’on est ramené à Saint-Rémi qui réalisa l’onction de Clovis.
Et je ne résiste pas à mettre cette fameuse chanson de Bourvil sur les Rois Fainéants…
https://www.youtube.com/watch?v=MwEWQEiXcU8
????
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Samuel :
L’important dans chacun de mes articles est de ne pas regarder vers moi le sens premier et le sens caché. Cela m’appartient et cela s’inscrit dans mon processus de connaissance de moi-même. Cécile, ton commentaire est encore une fois un réel présent. Il témoigne d’une appropriation personnelle selon ton propre vécu, tes propres synchronicités et ton cheminement. Il n’y a pas de hasard. Dans la marche du plan divin, l’imbrication est infinie. Mes articles sont un appel à ce que chacun les lise selon sa perspective personnelle. Ce que je transmets me sert dans mon cheminement et servira à tous ceux qui se l’approprie pour eux-mêmes. C’est très agréable de lire la manière dont vous vous l’appropriez tous, que vous commentiez sur le blogue ou que vous m’écriviez directement.
J’avoue cependant que ta sagacité et tes connaissances sur la numérologie et les symboles m’apportent un complément inestimable. En cela, je te suis réellement reconnaissant 🙂
Bonjour M. Samuel !
La toison d’or !
Voici un outil que m’a présenté mon dragon…
Je ne sais pas si tu as été en songe dans toutes ces univers antiques.
Comment obtenir des dates ?
Est ce avec une recherche avancée dans l’arbre généalogique ? Française ?
Brunehilde… et Berthe… Joséphine aussi….
Surprenante déclaration.
La caste religieuse a volontairement caché la réelle version Christique.
Je dois avouer qu’on se perd dans les noms qui se succèdent…
Mais une question qui me passe par la tête.
Pourquoi remuer une histoire royale tenue des rois et reines dans le sens Christique ?
La toison et les rois… le roi !
Marie-Madeleine était elle reine ?
Qui peut prétendre Jésus le Nazaréen descendant direct du roi David ?
Et surtout, pourquoi cette obsession à la royauté et sa descendance directe ?
Atteindre sa condition Christique doit-elle absolument descendre de David ?
J’ai surement mal interprété le contenu du et des textes…
La génétique… parlons en !!!
Rebelle et impitoyable semence indisciplinée !
Croisement thématique des sièges ADN humanoïde.
L’âme et l’esprit ! ??!!????
L’ADN de quoi ? envers qui et quoi ?
Il est drôle du pourquoi un tiers de mes com passes la douane de ce monde virtuel.
Bog… misère… Il faut soit recommencer ou passer à autre chose.
Pour revenir à cette belle parution de tes entrailles, bravo encore pour l’audace.
Bravo pour le thème et la teneur. Bravo pour tout ce que tu donnes…
C’est toujours un réel plaisir de visiter tes textes.
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Samuel :
Mes textes ne se révèlent complètement à la première lecture, même pour moi. Ils sont issus d’une collaboration entre mon être intérieur et mes guides. Quand la vibration reflue, je me pose pour relire mes textes plus tard dans le temps. Ils sont souvent une pierre déposée ici et maintenant mais qui ne trouveront leur raison d’être que plus tard. Je les vois comme une balise personnelle. Je me livre à l’exercice de les établir et ils ouvriront leur sens profond que plus tard.
Oui, on se perd dans les noms historiques, mais au-delà des noms, il y a une récurrence autour du nombre 3, c’est le dénominateur commun. En apparence, on se noie dans les détails, mais le sous-jacent s’inscrit dans l’inconscient et fera son œuvre de Connaissance.
Les gens rêvent d’avoir accès à des secrets mais ils sont surpris de l’effort qu’ils demandent pour être décryptés. Ils ne s’offrent qu’à ceux qui s’interrogent réellement, analysent et laissent leur intuition leur montrer les clés disséminées.
Si on regarde l’énoncé des lignées, je ne pourrais jamais apporter la preuve qui satisfera le mental. Je ne demande pas que l’on prenne telles quelles mes affirmations. N’hésitez jamais à les rejeter si elles ne vibrent pas en vous. Je n’établis pas VOTRE vérité. Soyez souverain comme j’essaye de l’être pour moi-même. Peut-être que je devrai déconstruire dans le futur certains éléments de mon texte, peut-être que des sources externes appuieront ces mêmes éléments. Laissons faire les synchronicités. En étant dans l’accueil, tout se mettra en place adéquatement.
Et n’est absolument pas nécessaire d’avoir une quelconque filiation davidique pour atteindre l’état d’être christique. Sois-en rassuré.
Bravo, je dois dire que je n’ai plus lu de pareils écrits de qualité et résonants de vérité depuis le livre AMEN de Michael El Nour (livre révélant l’histoire occulte de notre humanité, le Saint-Graal et la Lignée Royale Michaélique) ! Votre prose est soignée et d’un style très épuré aux mots bien choisis. Je vous admire et vous félicite pour votre lucidité d’esprit, vos facultés de voyage multidimensionnels et votre esprit de synthèse qui nous aide à revivre les fondements de notre histoire commune et la genèse de cette immense corruption dans laquelle nous vivons aujourd’hui. Coeurdialement, Laurent De Vecchi – White Dragon Love