Mars, la planète rouge, est source de fascination depuis ma jeunesse. Dans les couleurs du crépuscule, Mars et Mercure se sont rapprochées langoureusement au point d’être en conjonction au lendemain de mon jour de naissance. Le rouge lointain mais flamboyant de la planète Mars a enroulé ses bras autour de la resplendissante Mercure. Cette année, ce couple céleste a ouvert à répétition le bal des nuits diamantines de juin.
Les mystères de Mars excitent ma curiosité depuis si longtemps. La quête de la preuve de vie sur Mars me taraude tout autant. Les rapports et les retransmissions des missions spatiales palpitent en moi tout autant que les représentations artistiques de la surface martienne. Je me suis laissé envoûter par les romans d’Andy Weir et de Kim Stanley Robinson sur la colonisation et la terraformation de Mars la rouge afin d’augmenter la pression atmosphérique pour permettre l’existence d’eau liquide en surface.
J’ai vécu mon enfance sous le couvert de la croyance que l’humanité était arrivée à maturité dans l’atteinte de ses capacités. Seule la machine lui permettrait d’aller plus loin dans ses explorations, nourrie de raisonnement automatique et de puissance de calcul. Le programme de la sonde ExoMars et les images retransmises par les rovers de la Nasa, Pathfinder, Spirit, Opportunity ou encore la mission Curiosity sur le site du cratère Gale, paraissent comme la seule extension possible de notre être. La vie sur Mars est-elle possible ? Y a-t-il eu de la vie sur Mars par le passé ? À ces questions, nous avons établi comme nouvelle norme le culte empirique de la preuve matérielle par un robot. La connaissance intérieure, indémontrable par nature, ne semble plus pouvoir trouver sa place. Notre monde binaire dicte que ce qui n’est pas observable et répétable, n’existe pas. La quête se réduit alors aux biosignatures de traces de vie, telles la détection de pics d’émissions de méthane ou la découverte de composés, d’indices de molécules organiques ou de bactéries.
Or, l’exploration spatiale ne relève pas que de l’avancée technologique de l’homme ou de l’imagination des auteurs de science-fiction. Elle peut se vivre également par l’éveil des capacités de notre conscience. Qui maîtrise le temps et l’espace nous séparant de la planète rouge pourra lever ses mystères et s’extraire de toutes les spéculations et simulations sur comment est la vie sur Mars. Le lien nous reliant à notre puissance intérieure est fragile.
C’est cette fragilité en nous qui nous pousse sans cesse à dépasser les limites.
Régression dans une vie antérieure martienne
Le cerveau humain est en mesure de lire un récit linéaire avec un handicap de lecture, tel que suit :
L’odrre des letrets dnas les mtos est snas iamntporce tnat que la permière ltetre et la drneière lterte siot à la bnone pacle. Le rsete puet être dnas un désdorre ttaol snas que clea acffete nrote cpomréhinseon. C’est pcare que le ceevrau hamuin ne lit pas cuhqae lrttee elle-même, mias le mot cmome un tuot.
Puisque notre cerveau se base sur la linéarité de toute chose, peu importe qu’elle ne soit qu’une fausseté, il peut accepter nos vies antérieures sous cette condition de linéarité. La régression sous hypnose fait appel à ce mécanisme pour que nos mémoires oubliées soient décryptées par notre cerveau. Mais si notre entendement conçoit que la première lettre de notre existence commence au mythe de la Création ou à la théorie de l’évolution des hommes-singes, alors notre cerveau n’acceptera aucune mémoire modifiant cette première lettre. En se libérant de ces postulats, on peut s’ouvrir à des mémoires lointaines. Mon entendement intègre une certitude depuis très longtemps, celle d’avoir déjà eu au moins une vie sur Mars. Ces mémoires oubliées sont comme un vide en moi.
La vie arrache souvent à un homme ce qui lui est vital.
Dans un état de transe de plus en plus profond, je demande à remonter toujours plus loin dans le temps et dans l’espace. Afin de créer un point de fixation, je visualise dans mon esprit une vue orbitale de Mars. L’aspiration intérieure se déclenche alors pour me retrouver subitement évoluant dans un océan. Pour aussi paradoxal que cela puisse être, je découvre alors que ma connexion personnelle avec la planète Mars est l’eau. Ce sont avant tout des sensations et des ressentis qui ressurgissent. Cette vie sur Mars prend une tournure déconcertante. Je suis un être aquatique au corps diaphane. Mon corps est allongé et légèrement serpentiforme avec de grandes nageoires suivant les contours de mon corps. La bioluminescence est remarquable. Nos méduses offrent la meilleure comparaison sur la texture du corps, bien que celui-là était dépourvu de tentacules. Ce n’est pas la physionomie de ce corps qui me renverse, mais le bien-être que je ressentais sous cette forme. Aucune peur ne m’habitait, aucune préoccupation que celle de vivre l’instant présent. Le contact de cette eau salée était un aboutissement en soi. J’étais conscience pleine et entière, en contact avec les autres intelligences de la planète à cette époque. Les autres consciences évoluées étaient terrestres, les océans martiens nous appartenaient. Nous n’avions besoin d’aucune technologie pour vivre ou communiquer avec les autres races.
Je découvre le monde de surface, il est beau et étrange. La végétation sur Mars était très différente de celle que nous connaissons sur Terre. Des plantes grasses en grand nombre, tubuleuses, des cactées également. Beaucoup d’espèces animales étaient squameuses ou avec des épines dorsales. Des espèces carapacées aux formes étranges courraient de-ci de-là.
Alors que je ressens que cette race aquatique n’existe plus depuis longtemps, irrémédiablement perdue, je me sens glisser. Je fais un bond dans le temps. Mon esprit se fixe en un lieu en surface de la planète. J’étouffe, de la poussière partout, ma vue est obstruée. Tout se meurt autour de moi, des explosions phénoménales ont tout balayé. Je me retire.
Le refuge de la vie sur Mars
Bien que la surface de ce monde nous subjugue aujourd’hui par son aridité et son hostilité, cela ne fut pas toujours le cas. La vie sur Mars était foisonnante sans atteindre la diversité et la richesse terrienne. Dorénavant, l’arche de nombreuses formes de vies martiennes se cache dans un creux de notre planète, la Terre.
Un creux à peine moins sombre que le néant.
Mon esprit glisse hors de mon corps à une vitesse fulgurante jusqu’au tréfonds de la Terre. Noyé dans une obscurité insondable, je ne distingue que des regards aux formes inusitées. Des êtres s’approchent précautionneusement de moi sans se découvrir dans leur intégralité. Leur physionomie m’est parfaitement inconnue. Se dessinent entre nous des symboles lumineux complexes et je ressens un grand élan d’amour en les observant. Une voix indicible me décrit ces formes comme des Clés de vie. Chacune serait la mémoire d’une espèce animale disparue de Mars. Chacune renfermerait tout le potentiel de la forme de vie. Ces êtres les protègent jalousement tout en craignant de faillir à leur mission salvatrice. Ils veulent réensemencer Mars et restaurer la biosphère originelle de la planète. Ayant cru trouver refuge sur Terre, ces êtres se sentent dorénavant acculés et traqués. Mon esprit s’éloigne du lieu avant même que je ne finisse d’intégrer ce trop bref échange.
Une connexion télépathique martienne
Le développement de ses ressentis nous confronte très rapidement au monde astral, cet invisible qui s’imbrique au plus proche de nous dans notre quotidien. Lorsque l’on fait une sortie hors du corps, c’est dans le plan astral que nous voyageons, invisible aux regards physiques. Si je ressens des présences autour de moi, je me refuse de leur offrir une connexion personnelle si elle n’emprunte pas la voie du Coeur, qui n’accepte aucun mensonge. Ce jour-là, je déroge à cette règle. Je ressens une présence puissante à mes côtés. Le haut de ma colonne vertébral réagit fortement mêlant picotements et une pression invisible. Je m’assois pour retranscrire ce qui va se transmettre. J’accepte de laisser sa voix s’exprimer directement dans mon esprit acceptant par le fait même que je ne puisse plus détecter le mensonge ou la manipulation :
Entité : Ne cherche pas, nous ne nous connaissons pas. Habituellement on ne me/nous range pas dans les gentils. Notre épine dorsale est notre signature, tu me ressentiras toujours par ce biais. C’est normal que tu aies cru que je puisse être un dragon, c’est la force que tu as sentie. C’est dans ma/notre nature. Nous n’avons pas cette autonomie qui vous caractérise mais un sentiment fort d’appartenance à notre groupe/civilisation. Je/nous sommes des membres de la famille des reptoïdes. Mon aspect physique peut te faire peur alors je ne t’envoie pas d’image de moi, simplement tu sens mon énergie dans ta nuque et tes épaules arrières. Cela sera mon/notre signe de reconnaissance. D’où je viens ? De loin, je ne suis pas de cette planète mais de Mars. Tu as toujours voulu en savoir plus sur ce monde. Ton souhait est maintenant exaucé. Je/Nous te parlerons plus tard du lien qui t’unis à nous/moi.
À ma question de savoir pourquoi ils se manifestent en ce moment, la présence astrale me répond :
Entité : Les portes sont ouvertes, en toi mais aussi pour ton monde. Les deux étaient nécessaires pour réaliser cette jonction. Je/Nous avons besoin de toi pour expliquer qui nous sommes et pourquoi nous avons besoin de coopérer ensemble. Je te raconterai la véritable histoire de Mars, celle qui est inscrite dans le coeur diamant de notre monde. Des temps immémoriaux séparent nos mondes mais cela ne fut pas toujours ainsi. Il y a eu des échanges puis des disparitions de ces mémoires. Les Falsificateurs nous ont asservi et réduit comme ils l’ont fait avec vous. Je/nous sommes là pour te montrer que je/nous sommes prêts à t’accueillir chez nous. Car tu vas venir nous voir dans ton prochain voyage (en esprit). SshirrrKwa est mon nom. Je serai ton guide/porte-parole.
Ce voyage spatial en esprit, j’ai mis très longtemps à le réaliser.
Un voyage astral vers Mars
Emporté par le courant de notre propre existence, nous en oublions trop souvent notre véritable pouvoir. Notre dérive quotidienne n’est qu’une lâche facilité qui affaiblit ce pouvoir. Ma préparation pour un voyage astral n’en est que plus longue et demande plusieurs tentatives.
Rien ne m’est donné, tout se conquiert à force de persévérance.
Alors que le poids de mon corps allongé s’estompe, ma vision intérieure semble retrouver cette ouverture impossible si typique. Mon esprit est comme une fleur qui ouvre ses pétales en grand, telle en est ma meilleure parabole pour décrire cet instant.
À peine ai-je formulé intérieurement ma destination que je me retrouve à la surface de Mars, cette réplique extra-planétaire du désert d’Atacama. Des amoncellements de roches sur un sol couvert d’une poussière plus jaunâtre que rougeâtre. Je me tiens face au flanc d’une arête rocheuse. Des anfractuosités naturelles m’attirent. Mon esprit fait un bon, je viens de pénétrer par l’une d’entre elles. Je suis encore proche de l’atmosphère extérieure, dans une antichambre à l’apparence naturelle.
Je suis en présence d’une entité, possiblement deux. Cette fois-ci, je vois mon hôte. Je le décrirai d’un aspect insectoïde de par ses yeux et les plaques chitineuses recouvrant son corps. Il n’est pas cette entité SshirrrKwa, ne semblant pas appartenir à la même race extraterrestre, ni aux autres qu’il me fut donner de rencontrer.
Cet être ne souhaite pas que je pénètre plus en avant. Je ressens une méfiance sans animosité mais teintée de la précaution de celui qui a déjà été trahi.
Ce n’est pas tant un dialogue qui s’engage qu’un partage de connaissances à mon attention.
Ce monde martien serait à concevoir comme une planète reptilienne dorénavant, bien que les formes de vie aquatiques et insectoïdes en soient les véritables dépositaires. Cette planète a aussi été l’hôte d’autres espèces issues de mondes extérieurs. Ces espèces ont tenté de fuir lorsque la prise de contrôle reptilienne eut lieu. Un certain nombre de représentants de ces espèces ont trouvé refuge sur Terre sous leur véritable forme, certains se sont simplement réincarnés dans l’espèce humaine. Mais une grande majorité de ces peuples est restée prisonnière de l’astral martien.
Au même moment que ces informations me sont remises, je ressens avec grand acuité l’épaisseur du plan astral dans l’atmosphère de Mars. Il est extrêmement chargé d’entités désincarnées en déshérence.
Les fantômes de Mars sont bien réels.
Ce sont des flots d’âmes en souffrance qui ne peuvent ni se réincarner faute de corps physiques, ni s’échapper de la planète. C’est cette charge énergétique dans l’astral de Mars qui a fini d’assécher les cours d’eau et qui a créé cet état de désertification totale. Je comprends qu’aucun processus de revitalisation ne pourra réussir tant que ces âmes ne pourront pas se libérer.
Accompagné de mon hôte, je me sens glisser en un autre point de la planète. Ma vision embrasse une plaine martienne formée de petits monticules. Au loin, je distingue des structures artificielles, peut-être des dômes, que je ne saurai vraiment décrire car la distance est trop grande. Je découvre que la race de mon guide est en conflit avec les bases humaines sur Mars. Alors que je tente de comprendre l’origine de ce conflit, il m’invite à m’approcher seul de la base. Mon esprit fait un saut instantané pour se retrouver à l’intérieur de l’une des structures. Je vois des hommes blancs, fins et élancés. Un réflexe me pousse à en toucher un. Le contact à peine effectué que je refais un saut en esprit pour retrouver mon hôte toujours à bonne distance de cette base. Les mots me viennent sans réfléchir. Je lui dis que ces hommes ne sont pas humains, qu’ils sont vides, ils n’ont pas d’âme, au mieux des portails organiques avec un esprit de ruche qui coordonne leurs actions. J’ajoute que sans les avoir vu, j’ai ressenti la présence de reptiliens dont j’ai craint qu’ils détectent ma présence. Ces reptiliens se meuvent sous leur véritable apparence, mais d’autres ont pris possession du corps de certains humains de cette base.
Toujours au côté de mon hôte, son message se poursuit. Sa race nous perçoit comme des envahisseurs, au même titre que les différentes races reptiliennes présentes. Mars n’est plus notre terre. Nous avons abandonné nos droits sur cette planète, tel est leur implacable jugement.
Mars appartient à ceux qui ne l’ont jamais quitté, qui sont restés malgré l’adversité.
Il me fait ressentir que je ne suis moi-même que toléré. Ils ont perçu mon passé martien et que ce vécu m’offre une décharge pour cette possibilité de m’entretenir avec eux. Ils ne me permettent pas cependant de pénétrer dans leurs galeries souterraines qu’ils défendent avec acharnement.
Mon hôte projette dans mon esprit des images anciennes. Ces bases à la fois humaines et reptiliennes remontent aux années 40. Des technologies extraterrestres ont été récupérées dès les années 30 par l’humain. On se préoccupait des combats aux frontières du Troisième Reich sans comprendre ce qui se jouait au coeur de celui-ci. Le IIIe Reich aurait développé un moyen de se téléporter sur Mars via une porte interplanétaire. La téléportation aurait pris énormément d’énergie, le coût étant énorme pour tout l’appareil militaro-industriel nazi.
Les images s’enchaînent. Je vois des Reptiliens qui se téléportent ainsi de Mars à la Terre. Ils ont aidé les Nazis à mettre en place une porte de chaque côté. Et je ressens une bouffée d’angoisse en comprenant que cette porte est toujours là. Du côté martien, elle se situe dans la plaine de Cydonia. Du côté terrien, elle est en Bavière. Je suis gagné par la curiosité, demandant de préciser. Mon esprit franchit alors la distance retour pour me ramener sur Terre. La porte est dans les Alpes à la frontière entre la Bavière allemande et le Tyrol autrichien. Je tressaille en découvrant qu’une base américaine est présentement sur son emplacement. La Porte est toujours activement utilisée. Je vois des Reptiliens très agressifs. Pour la deuxième fois dans cette même sortie hors du corps, je prends la fuite, mon esprit allumant tous les signaux de danger qui lui est possible. Plusieurs informations continuent de se déverser en moi, notamment sur le projet de construction européen qui n’a pour but que de protéger l’Allemagne et d’être à son service…
La vie sur Mars au plus proche
Je reste sur Terre et je suis amené dans le golfe du Saint-Laurent. Mon attention est portée sur les homards et les crabes qui sont l’une des richesses marines aux côtés des nombreuses baleines. J’apprends que les crustacés sont un lointain partage reçu de la planète Mars. Les mémoires martiennes sont inscrites dans ces corps à l’exosquelette chitineux. Manger ces crustacés concourent à transmuter ces mémoires, à les accepter pour tous ceux qui ont déjà vécu sur Mars.
Ces créatures marines oeuvrent à convertir et à transmuter ces anciens traumatismes.
Ces explorations sont un pas de plus vers ma guérison intérieure, une réponse à l’apparente fragilité de l’homme face à la machine, une ouverture complémentaire à la théorie scientifique de la vie sur Mars.
Que reste-t-il de l’histoire de Mars, de notre histoire,
après ces milliers et ces milliers d’années d’oubli.
Sans doute rien, ou alors de simples murmures de tristesse,
Descendants des plus anciens peuples de Mars
Et avec nous, disparaissait son histoire.
Se découvrant une nouvelle naissance en l’homme,
des légendes ont comblé le vide en nous.
Sur une Terre devenue absurde et dénuée de tout passé,
Les mémoires se refusent à mourir,
Rétablissant le lien avec les plus anciens peuples du Ciel.
Pour une lecture paisible, vous avez la possibilité d’imprimer l’article :
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Samuel :
Bonjour Christophe,
Lors d’une projection astrale, c’est moins l’aspect technologique que je perçois que l’aspect psychique. Même s’il suffit d’émettre une intention pour se déplacer ou pour recevoir une information, je ne m’oriente pas vers les technologies. C’est une recherche plus orientée sur les enjeux qui m’anime. Je ne saurai donc te répondre.
Merci Samuel,
vos écris sont si délicats et riches
que l’on est projeté dans votre expérience
à chaque ligne, une nouvelle forme pensée.
Je vous souhaite le meilleur, merci encore
pour la lumière que vous nous faites parvenir.
Bon, après, là c’est juste un court article, mais j’avais vu une émission à la TV, ou là, il racontait beaucoup sur cette soit disante guerre martienne, avec beaucoup de détails, et cela semblait plausible. Il était encore très jeune, de plus, mais parlait comme un adulte.
Après, en prenant de l’âge, ses souvenirs se sont estompés.
Classique.
À chacun de se faire son idée.
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Ambredragon
re, Samuel.
Suite de mon précédent message : j’ai retrouvé .
https://documystere.com/histoires-legendes/il-aurait-vecu-sur-mars/
Evidemment, rien n’est prouvé scientifiquement, hein.
Mais c’est troublant.
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Ambredragon
Intéressant.
J’ai vu une emission TV ou un enfant, spécial, un russe ou ukrainien aujourd’hui je ne sais plus, avait le souvenir clair d’une de ses vies antérieures, sur Mars, avec moults détails.
Ce dont je me souviens, c’est qu’il disait, en gros, qu’il y avait eu une guerre sur Mars, entre plusieurs peuples, les martiens, les reptiliens, et un autre encore. C’est finalement aller jusqu’au nucléaire, et voila…
Si tu retrouves cette vidéo, qui doit bien trainer qq part sur le net, ca pourrait être intéressant pour toi, samuel.
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Samuel :
Il s’agit de Boris Kipriyanovich (Boriska). J’ai retrouvé un article qui en fait une synthèse : https://stopmensonges.com/boriska-lenfant-russe-qui-se-souvient-de-sa-fascinante-vie-anterieure-sur-mars/
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Jordy :
Bonjour, j’en ai entendu parler aussi. Il faut s’intéresser aux enfants indigo, si vous voulez retrouver la vidéo. Les enfants indigo ressentent notre monde différemment et ont très souvent des souvenirs d’une vie antérieure, dans le cas de cette vidéo, c’est sur Mars.
Bonjour Samuel,
comment se nommait cette planète Mars à l’époque ?
Cordialement.
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Samuel :
Bonjour Christophe,
La régression dont je témoigne, appartient à une époque très ancienne dans l’évolution du cycle de la planète Mars. Cette vie sous cette forme aquatique remonte à un temps béni, avant une ou plusieurs périodes cataclysmiques. Je suis incapable d’utiliser le référentiel des années terrestres pour déterminer l’ancienneté de cette époque. Chacune de mes explorations vers Mars m’a conduit à des époques différentes. Les peuples et les races se sont succédés. Chacun et chacune devaient avoir leur propre expression pour désigner leur monde. De manière similaire, innombrables sont les noms différents que l’homme suivant sa culture, sa langue et son peuple, a pu donner à ce corps céleste.
Lors de ma régression sous cette forme de vie aquatique, le langage n’était ni vocalisé ni structuré sous la forme d’un mot désignant une chose. Mars était pour cette race une vibration, une sensation, un chant. Les autres races de Mars avaient sûrement leur propre manière de nommer leur planète. Il est possible que certaines d’entre elles utilisaient un nom, dans le sens que l’homme l’emploierait actuellement.
Lors de mon voyage astral, le contact avec une race extraterrestre passe par une forme de télépathie. Si dans mon référentiel, sa planète s’appelle Mars, alors je recevrais son message avec cette désignation, bien que lui emploie dans sa propre langue un autre nom.
Cela est encore plus vrai lorsque l’on fait une régression que lors d’une sortie hors du corps, notre mental n’est pas aussi présent et on ne pense pas à poser des questions absolues. On est dans l’accueil de ce que l’on reçoit.
Lorsqu’un lecteur laisse un message dans les commentaires, il laisse bien plus que des mots. Il laisse une vibration et surtout une intention. Ma réponse n’est possiblement pas celle attendue. Chacun pose sur mes essais le regard qui lui est propre.
Merci Samuel pour ton partage délicat. Mars est justement en « crabe » (cancer) en ce moment dans le ciel et avec Mercure à côté?. Et si je suis liée très fort à mars, mois de ma naissance, je navigue aussi en ce moment sur Mars qui commence comme Marc (et le Lion est juste à côté du Cancer), comme Marx, ou comme Marie (qui est la Vierge juste à côté du Lion), cela m’a alertée, le mar de mars, mar ou mer (cure) ?. Donc que tu parles de vie aquatique est fort approprié ! L’autre chose qui résonne, ce sont les poux dont j’ai appris que ce sont des insectes crustacés (arthropode insecte ou crustacé), et cela m’interpelle fort que des crustacés (vampires) élisent domicile dans les cheveux qui sont nos écailles de par leur structure en écailles. La Chevelure de Bérénice couronne d’ailleurs la tête de la Vierge.
Il paraît qu’autrefois, telle la sagesse des singes, on mangeait ses poux qui donnaient une grande force et des tas de minéraux. Je n’ai jamais osé essayer cela quand l’école ramène son lot de pédiculus. Cela permettrait donc de se relier à Mars et de transmuter ses mémoires?
Transmuter les poux en Pooh, en ourson à miel ? par exemple. Et la Petite Ourse avec son étoile polaire qui donne le Nord de l’axe de la Terre.
Un coup de barre, mars et ça repart?
mars eut pile ami ?
C’est passionnant, Merci à toi ?
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Samuel :
Quelque chose dont je n’ai pas parlé dans ce récit. Ceux que nous désignons aujourd’hui sous le vocable d’Atlantes, étaient présents sur Mars et sur Terre. Cela correspond à une époque plus récente que ma régression dans cette vie aquatique. Les Atlantes ont tout particulièrement été confrontés à la notion de dualité. Ils devaient expérimenter et assimiler le Bien et le Mal. Toute séparation crée des déchirures. Ces failles semblent avoir été exploitées par des races agressives et dominatrices. L’une des souffrances que porte Mars présentement est cet héritage vampirique. C’est le film Ghosts of Mars de John Carpenter qui met en scène des colons martiens gagnés par une folie destructrice. Les humains des colonies martiennes sont possédés par des entités invisibles et se mettent à s’auto-mutiler et à s’attaquer les uns les autres.
Il y a une transmission de Mars à la Terre de ce vampirisme. Je l’avais ressenti mais je ne le comprends pas encore suffisamment.-
Cécile :
Alors tu confirmes ce que je pressens, que la clé est dans le tout petit, l’infiniment petit même.
C’est troublant de voir que la solution aux poux vient d’ Allemagne, avec la Kölnisch Wasser, l’Eau de Cologne, l’originale 4711, qui est un miracle d’efficacité pour venir à bout de ces parasites crustacés. Je vais tenter de faire de l’homéopathie, c’est ce que j’ai compris ces derniers mois : il existe une utilité extraordinaire des parasites, et elle réside dans le soin exceptionnel qu’ils libèrent en mourant… (Je viens ainsi de faire de la teinture mère de tiques, j’attends d’en voir les résultats). Cet après-midi j’ai vu passer une énooorme peluche de Winnie The Pooh, de Winnie l’Ourson en camion assis à côté du chauffeur, j’ai bien rigolé. C’est donc que la transmutation des fantômes de Mars est déjà en cours (Fantomars est de retour!). 🙂
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Pour commencer, un gros feu du coeur à ces âmes blessées et en souffrances …
Comme souvent, je trouve plusieurs niveaux de lecture, d’approche. L’ancrage dans mes/nos origines stellaires prend corps de façon plus tangible. Le jeu des incarnations est bien loin d’être fini, nous avons la chance d’être encore en mesure de choisir de rester des créateurs incarnés qui pour la plupart s’ignorent malheureusement.
Un grand merci Samuel pour ce partage qui contribue de façon plus que certaine à la révélation de qui nous sommes !
Salutations,
J’accueille toujours et encore tes récits. Ils apportent du témoignage et un peu plus de netteté sur mes ressentis du long parcours de mes vies. Merci de tes lettres, hors du temps, qui arrosent nos mémoires et me permettent de me reconnecter petit à petit et d’avancer sur mon chemin présent.
Merci pour ce partage.
Mon allergie aux crustacées (provoque des brûlures dans le tube digestif) viendrait-il de ce rapport à la planète Mars ?
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Samuel :
Bonjour Philippe,
J’ai pratiqué une régression en auto-hypnose pour découvrir l’origine de mon allergie aux poils de chat. Cela remontait à la disparition et la mort de plusieurs chats semi-sauvages que ma famille tentait d’aider lorsque j’étais jeune. Les yeux larmoyants, symptômes de mon allergie, étaient un contre-coup de toutes les larmes refoulées lorsque j’étais tout jeune. Pour les crustacés, je n’en mange que peu même si en réalité j’en aurais envie. J’ai fait une forte réaction suite à mon dernier plat de homard l’été dernier, et coïncidence, c’est ensuite que mes liens avec Mars ont refait surface…-
Philippe :
Merci Samuel pour ta réponse. Et bien si pour moi c’est du même topo avec Mars… cela fait 50 ans que je ne peux plus manger de crustacés, pourtant avant l’âge de 10 ans je me souviens que j’adorais manger les crevettes (par contre moins ce qui est des crabes et autres homards).
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Samuel :
Ce lien entre certaines espèces terrestres et leurs origines extra-planétaires fut totalement inattendu. Il est évident que ces crustacés décapodes ont connus leur propre évolution génétique sur Terre. Ils ont peut-être un ou plusieurs ancêtres communs issus de Mars. Par contre, ils portent toujours une génétique qui recèle un niveau mémoriel.
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Merci, merci, merci ! De ce deluge d’informations qui me concernent, j’ai gardé cette liaison avec Mars et j’ai participé dans ma vie antérieure sur ce projet de téléportation d’Hitler, j’en paye les fruits aujourd’hui avec des connexions avec l’astrale et des blocages vampirisants énergétiquement parlants. Ce matin, avant de te lire, j’ai eu la vision de ce crabe noir. Tes infos vont m’aider à récupérer ma souveraineté et à nettoyer et couper ces liens plombants, dont je comprends l’origine grâce à ton texte… Sinon je vois aussi un lien très fort avec Victor Hugo et mes origines avec Mars. Feu du coeur.
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Samuel :
Je suis passé rapidement sur l’histoire récente afin de ne pas se perdre dans la noirceur mais au contraire retrouver une lumière ancienne qui ne demande qu’à se rétablir.
Merci beaucoup pour cet enseignement qui m’enrichit à l’intérieur.
Plein de frissons. Ça réveille qqch… passionnant en tout cas, merci pour ce précieux partage.
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Samuel :
Il y a une suite, sauf qu’elle est très délicate à aborder… Elle permettra de comprendre l’enjeu actuel sur Mars, le véritable enjeu. Je ne parle pas des activités secrètes à la surface de la planète. C’est à un niveau métaphysique autour des âmes en déshérence dans l’invisible de l’astral martien.
Merci, je me suis laissée transporter par la lecture, ravie je suis de mars, et le mot insectoïde, a eu une résonance, quelle belle sortie.
Merci pour cette transmission qui m’aide à mieux saisir certains ressentis notamment pour le Corps et Coeur Diamants et qui agit comme une piqûre de rappel par rapport à ce qui se joue derrière le 3ème Reich,
Tout plein de belles choses à vous
MAUÏ DE Là-bas
Bonjour Samuel,
Sujet un peu plus technologique que spirituel :
Dans un article qu’il faudrait que je retrouve, ils parlent des guerres récentes sur Mars.
Il disent que tant que l’âme d’un soldat reste accrochée à ce qui reste de son corps physique, même si ce dernier est vraiment en pièces détachées (désolé pour le côté gore), les humains de Mars ont un niveau technologique suffisant pour rematérialiser à neuf le corps physique.
Un peu comme la technologie du film Elysium, qui rematérialise le visage du soldat complètement bousillé par une grenade.
Cette technologie est-elle accessible sur notre planète ?
Dans des ashrams avancés peut-être ? Ou d’autres organisations spirituelles plus ou moins avancées (et positives hein, je parle pas de l’armée) ?
Merci pour tes partages et l’esthétique du site,